Presse
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- Écrit par : Le Progrès
A la mort de son père, il lui promet de devenir footballeur professionnel. Anthony Mounier a alors six ans. Cinq ans plus tard, lorsqu’il endosse les couleurs lyonnaises, il promet à sa mère de réussir son Baccalauréat. Il décrochera le Bac S réservé aux scientifiques. Aujourd’hui, d’autres chiffres trottent dans sa tête.
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- Écrit par : France Soir
“Souvent comparé à Lloris”
« On me compare souvent à lui, sans doute à cause de mes origines niçoises. C’est très flatteur. J’ai le même gabarit, fin, rapide et explosif comme lui. Les supporteurs m’en parlent souvent et je l’ai rencontré plusieurs fois à Clairefontaine et à Nice. J’apprécie de discuter avec lui et il est très disponible à chaque fois. Je souhaite en revanche que l’on parle de moi en mon nom car Hugo Lloris reste et restera Hugo Lloris. »
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- Écrit par : Direct Azur
A dix journées de la fin du championnat, le coach de l’OGC Nice Eric Roy dresse un état des lieux et fixe le cap des Aiglons.
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- Écrit par : SportFranceTV
L'OGC.Nice s'est qualifiée pour les demi-finales de la Coupe de France en allant s'imposer mardi soir à Reims (3-2) après prolongation. Pourtant, les Niçois ont été archi-dominés par des Rémois plus volontaires, plus offensifs et plus entreprenants, qui se sont pourtant faits piéger sur trois contres et sont revenus deux fois au score. Mais en Coupe seul le résultat compte. Les Aiglons s'en sortent plutôt bien.
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- Écrit par : ogcnice.info
Le petit niçois fait le tour d'horizon des différents acteurs niçois concernantl e maintien du Gym en L1 ... et certains proposent même leur aide.
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- Écrit par : RMC
Jean Michel Larqué donne ses prévisions sur la seconde partie de la saison sur RMC ainsi qu'Eric Roy et un auditeur... Les avis divergent... Faites-vous votre opinion!
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- Écrit par : Direct Azur
L’OGCN affronte l’ASM demain à 19h au Louis-II. L’occasion de se replonger dans l’ambiance de l’un des derbys qui ont marqué les esprits de tous les supporters du Gym. Menés 3-0 à un quart d’heure de la fin du match, les Aiglons finissent par l’emporter.
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- Écrit par : Direct Azur
La victoire de son groupe à l’énergie, à domicile face à Toulouse (2-0), Eric Roy la savoure, avant un déplacement qui s’annonce périlleux dimanche, à Lyon. Retour sur ses six premiers mois dans sa nouvelle peau d’entraîneur. Calme, discret et toujours le mot juste… L’entraîneur de l’OGC Nice, est un homme de l’ombre que la lumière n’effraie pas. Depuis le début de saison, il profite de chaque instant comme s’il s’agissait du dernier au sein d’un staff où le rôle de chacun est clairement défini. «C’est un réel plaisir de travailler ensemble. On a beaucoup d’affinités et l’ambiance est très bonne. On se respecte énormément.» En six mois, cette «bande de potes» a déjà conquis les coeurs sûrement aussi parce que lorsqu’il a fallu sauver le club la saison dernière, ils n’ont pas hésité à relever le défi avec détermination et une certaine audace «Quinze jours avant de prendre l’équipe en main, si on m’avait dit que j’allais être entraîneur, j’aurais éclaté de rire. Et puis tout s’est accéléré et j’ai tout de suite senti qu’il fallait aider le club.»
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- Écrit par : Direct Azur
Face à Saint-Etienne, Anthony Mounier a remis le Gym sur de bons rails. On joue depuis 47 minutes au Stade du Ray lorsque Daniel Ljuboja centre au second poteau. L’attaquant de poche déclenche une reprise de volée de toute beauté qui vient se loger dans le petit filet de Janot et permet au Gym d’égaliser.
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- Écrit par : Direct Azur
Samedi soir, le Gym accueille Saint-Etienne pour le compte de la 9e journée de Ligue 1. D’un côté, les Aiglons voudront confirmer un début de saison prometteur et de l’autre les Verts tenteront de retrouver leur fauteuil de leader. Mais au-delà de l’enjeu, ce choc est aussi l’histoire d’une rivalité de longue date entre deux clubs qui se craignent et se respectent. Pour Frédéric Gioria, membre du staff sportif du Gym, l’origine de la rivalité remonte clairement à la saison 1975- 1976 où Saint-Etienne occupait sans partage la scène médiatique. «L’arbitre Robert Wurtz avait alors dirigé un Nice-Saint-Etienne qui est resté célèbre. C’était un vol manifeste, on a perdu le titre ce jour-là», peste encore Gioria.