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- Écrit par : L'Equipe
Les bordelais sont des gens bien élevés. Ils l’ont encore montré, hier soir, au coup de sifflet final. Ils avaient pourtant de quoi « péter les plombs », pour plagier Planus . Alors qu’ils maîtrisaient leur sujet de bout en bout, ils ont bêtement laissé filer, sur deux décisions arbitrales contestables, un quatrième succès d’affilée (toutes compétitions confondues). « C’est vrai qu’avec Cluj (1-0, mercredi, en Ligue des champions), nous avons livré notre match le plus abouti de la saison, acquiesce Gasset, l’adjoint de Blanc. À 2-0, nous ne devons jamais en arriver à ce final catastrophique. »
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- Écrit par : Eurosport
Le jeune Colombien David Ospina a étrenné ses galons de titulaire, avec brio, à Monaco (2-1) la semaine dernière. Une première réussie qui pourrait le propulser, plus vite que prévu, comme portier numéro 1 des Aiglons. Frédéric Antonetti, son coach, semble, en tout cas, sous le charme.
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- Écrit par : L'Equipe
Frédéric Antonetti a eu l’embarras du choix. Hier matin, avant la dernière séance d’entraînement de la semaine, à huis clos, l’entraîneur niçois a annoncé à Lionel Letizi et à David Ospina que ce serait bien le jeune colombien qui veillerait sur le but azuréen ce soir.
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- Écrit par : L'Equipe
Letizi n’est plus blessé, mais le gardien colombien David Ospina pourrait conserver sa place dans les buts niçois demain contre Bordeaux.
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Le député-maire de Nice Christian Estrosi (UMP) a annoncé lundi que le futur grand stade de football où évoluera l'OGC Nice (L1), un projet repoussé déjà deux fois dans le passé, serait livré "au plus tard en juin 2013". "Le début des travaux a été fixé à février 2011, pour une livraison au plus tard en juin 2013", a déclaré M. Estrosi devant la presse, précisant "espérer raccourcir les délais". Cette échéance est nettement plus longue que celle qu'il avait annoncée fin juillet, affirmant que "dans les trois ans à venir, le grand stade de 40.000 places que mérite l'OGCN verra le jour." Le député-maire de Nice a confirmé que le stade, d'une capacité comprise entre 35 et 40.000 places, serait implanté sur le site de St-Isidore à l'entrée ouest de la ville, une zone destinée à devenir une "écovallée".
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- Écrit par : L'Equipe
C’est une histoire qui dure et se répète. Une fois de plus Nice est reparti du stade Louis-II sans être battu. C’est la huitième fois consécutive (sept fois en Championnat, une fois en Coupe de la Ligue) depuis son retour en L 1 en 2002-2003. Le Gym s’est imposé à l’issue d’un derby aussi engagé qu’à l’habitude (un carton rouge et cinq cartons jaunes) et plutôt équilibré.
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- Écrit par : L'Equipe
L’union nationale des footballeurs professionnels (UNFP) n’en démord pas : si l’assemblée générale extraordinaire de la Ligue (LFP), prévue à la mi-novembre, est maintenue, les joueurs se mettront en grève et il n’y aura pas de match de L 1 le week-end des 25 et 26 octobre. Il n’y aura donc pas de choc Marseille-PSG programmé le dimanche 26 octobre en point d’orgue de la 10e journée. « Il n’y aura peut-être pas les joueurs qu’on a l’habitude de voir mais il y aura des matches », corrige Maurice Cohen, le président de Nice, membre de l’UCPF, le syndicat des présidents de clubs pros. Car le patron du Gym est formel : unNice-Bordeaux est prévu le 25 octobre à 19 heures au stade du Ray et ce match-là se tiendra coûte que coûte.
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- Écrit par : L'Equipe
Françis Gillot a passé une bonne soirée hier au stade du Ray. Il a vu son équipe de Sochaux livrer « un contenu de match intéressant ». Il lui a trouvé « des ressources morales encourageantes ». Il a surtout apprécié le premier point pris cette saison par les Lionceaux à l’extérieur et l’abandon de la dernière place aux Havraismême si c’est à la différence de buts et même si, à ce stade de la compétition, cela relève plutôt de l’anecdote.
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- Écrit par : L'Equipe
Nice semble continuer de lutter contre Lyon (2-3, 5e journée), contre ce penalty imaginaire de dernière minute qui abîma l’élan de trois succès d’affilée. Ensuite, il a concédé le nul contre une équipe du Mans dominatrice (2-2), puis a volé au dessous de l’ordinaire (0-1), samedi dernier à Rennes (*). L’entraîneur niçois s’y est fait mal aux yeux. Du coup, ses joueurs sont repartis avec un traumatisme auditif. Un savon « antonettiesque », à l’écho encore palpable, mardi matin, pour la première séance de travail tournée vers le premier de la casse, Sochaux. Antonetti avait pris sur lui sa trousse à fermeté.