Presse
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- Écrit par : L'Equipe
L’union nationale des footballeurs professionnels (UNFP) n’en démord pas : si l’assemblée générale extraordinaire de la Ligue (LFP), prévue à la mi-novembre, est maintenue, les joueurs se mettront en grève et il n’y aura pas de match de L 1 le week-end des 25 et 26 octobre. Il n’y aura donc pas de choc Marseille-PSG programmé le dimanche 26 octobre en point d’orgue de la 10e journée. « Il n’y aura peut-être pas les joueurs qu’on a l’habitude de voir mais il y aura des matches », corrige Maurice Cohen, le président de Nice, membre de l’UCPF, le syndicat des présidents de clubs pros. Car le patron du Gym est formel : unNice-Bordeaux est prévu le 25 octobre à 19 heures au stade du Ray et ce match-là se tiendra coûte que coûte.
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- Écrit par : L'Equipe
Françis Gillot a passé une bonne soirée hier au stade du Ray. Il a vu son équipe de Sochaux livrer « un contenu de match intéressant ». Il lui a trouvé « des ressources morales encourageantes ». Il a surtout apprécié le premier point pris cette saison par les Lionceaux à l’extérieur et l’abandon de la dernière place aux Havraismême si c’est à la différence de buts et même si, à ce stade de la compétition, cela relève plutôt de l’anecdote.
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- Écrit par : L'Equipe
Nice semble continuer de lutter contre Lyon (2-3, 5e journée), contre ce penalty imaginaire de dernière minute qui abîma l’élan de trois succès d’affilée. Ensuite, il a concédé le nul contre une équipe du Mans dominatrice (2-2), puis a volé au dessous de l’ordinaire (0-1), samedi dernier à Rennes (*). L’entraîneur niçois s’y est fait mal aux yeux. Du coup, ses joueurs sont repartis avec un traumatisme auditif. Un savon « antonettiesque », à l’écho encore palpable, mardi matin, pour la première séance de travail tournée vers le premier de la casse, Sochaux. Antonetti avait pris sur lui sa trousse à fermeté.
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- Écrit par : Football365
Les belles heures de Lionel Letizi sur les terrains français semblaient déjà loin pour les amateurs de la Ligue 1. Une victoire en Coupe de France décrochée avec le PSG face à l’Olympique de Marseille en 2006 restait en effet le dernier fait d’armes du Niçois. S’en est suivi un passage raté aux Glasgow Rangers avant un come-back dans le club de ses débuts, l’OGC Nice. Un retour dans l’ombre du jeune et prometteur Hugo Lloris. Et une part de succès dans les conseils de la nouvelle révélation du championnat de France. Mais tout s’est bousculé cet été lors du départ du néo international vers Lyon, Letizi retrouvant une place de titulaire dans la cage du GYM. « Je suis toujours prêt à jouer, explique le gardien à Football365. A partir du moment où Hugo est parti, c’était plutôt logique. S’il était resté, je serais resté doublure et il n’y aurait pas eu de problème. »
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- Écrit par : L'Equipe
Les murs du vestiaire visiteurs du stade de la Route-de-Lorient ont connu une petite secousse hier soir, aux alentours de 21 heures. Les Niçois n’avaient pas eu le temps d’aller se cacher sous la douche que Frédéric Antonetti leur faisait connaître son sentiment sur la prestation qu’ils venaient de livrer. Pour eux, ce fut un vrai calvaire. De l’autre côté de la cloison, ce fut un vrai régal. Pêle-mêle, l’entraîneur niçois dit à ses joueurs : « On n’a pas joué, on leur a donné le match. » « Si c’était le Brésil, je veux bien. Mais c’était Rennes. » « Vous faites chier. On n’a pas joué. » « C’est pas du rugby. Vous balancez sur les attaquants. Je ne veux pas voir ça. » « Ah, vous vous êtes vus beaux après Lyon, hein… »
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- Écrit par : L'Equipe
STÉPHANE JOCHEM ne devrait pas s’ennuyer ce soir. Habitué à diriger des rencontres de National ou de CFA, le quatrième arbitre de Rennes- Nice sera assis entre deux volcans. À sa droite, Frédéric Antonetti. À sa gauche, Guy Lacombe. Le premier classe le second parmi « les bons entraîneurs français, de ceux qui comptent ». Le second assure avoir « beaucoup de respect, comme tous les gens du football, pour le travail accompli » par le premier. Apparus dans le paysage de la L 1 au milieu des années 1990, Antonetti et Lacombe, anciens formateurs de Bastia et de Cannes, font désormais figure de dinosaures. Le compteur du Niçois affiche 324 matches sur un banc de L 1. Celui du Rennais six de plus. Seuls l’Auxerrois Jean Fernandez et le Nantais Élie Baup les dépassent.
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- Écrit par : Eurosport
Auteur d'un début de saison prolifique, Loïc Rémy s'est imposé, en un mois, comme le patron de l'avant-garde niçoise. Avec 6 buts lors des 6 derniers matchs, l'ancien Lyonnais est la bonne pioche du mercato estival. Et le jeune homme à la progression constante ne semble pas vouloir s'arrêter là.
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- Écrit par : L'Equipe
LES NIÇOIS ont réussi à faire respecter la hiérarchie hier soir à Boulogne sur Mer. Ce n’était pas forcément évident dans des conditions rendues difficiles par la pluie discontinue et une pelouse terriblement glissante. Mais ils ont fait le boulot. Le cinquième de L 1 a pris le meilleur sur le deuxième de L 2, à qui il a infligé sa première défaite de la saison. Un coup parfait puisque les Aiglons se sont ainsi qualifiés pour les huitièmes de finale tout en ménageant quelques titulaires et en offrant du temps de jeu à certains remplaçants.
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- Écrit par : La voix des sports
Les Boulonnais ont subi, hier soir, leur première défaite en match officiel cette saison. Ils ont été battus par des Niçois pas toujours très fringants, mais qui comptent dans leur effectif un certain Loïc Rémy...
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- Écrit par : L'equipe
Deux séries se sont arrêtées hier. Les Aiglons, vainqueurs de leurs deux premiers matches à domicile, ont lâché leurs premiers points au Ray. Les Sarthois, eux, ne sont plus irrésistibles sur terrain adverse. Mais les mines n’étaient pas les mêmes à la fin de cette rencontre.