Dans un match d'une qualité médiocre devant un public clairsemé, le Gym a mené grâce à Diop lors de la première periode. La seconde mi-temps fut aussi pitoyable. Le tournant reste le chant de la Pop Sud qui a été réprimandé 2 fois...sans succès. Lorsqu'on est abruti on le reste...La faute à qui? Au Gym qui leur donne une importance trop grande. Quel groupe de merde! Sinon l'OGC Nice continue sur sa lancée de relegable et montre un visage au fil des matches très inquiétant.

Fiche technique 

 

OGC Nice - Paris FC : 1 - 1 (1-0)
Arbitre : M. Kherradji


Buts :
Nice: Diop (40e)
Paris Krasso (88e)

 

Avertissements :
Nice: Abdul Samed (23e)
Paris: Mbow (13e)

 

Les équipes :
Nice : Diouf - Mendy, Bombito, Oppong - Clauss (cap), Abdul Samed (Boudaoui, 46e, Sanson, 78e), Vanhoutte, Abdi (Bard, 46e) - Cho (Jansson, 68e), Moffi (Boga, 75e), Diop


Paris FC : Nkambadio - Traoré, Mbow, Otavio, De Smet - Lees Melou, Lopez (cap), Camara (Krasso, 78e) - Kebbal (Ikone, 68e), Simon, Geubbels (Dicko, 78e)

 

Les buts 

 

89ème Bombito se rend coupable d'une main dans sa surface à la suite d'un centre venu de la droite. M. Kherradji n'hésite pas et désigne le point de penalty.Tout en tranquillité, Krasso transforme son penalty en ouvrant son pied gauche, prenant Diouf à contre-pied

 

40e Après avoir évité un Parisien, Cho glisse une superbe passe vers l'avant pour Diop qui enchaîne avec une frappe du droit passant entre les jambes de Nkambadio. 1-0 !

 

Résumé

 

L'OGC Nice a dû se contenter du point du match nul ce dimanche après avoir affronté le Paris FC (1-1). La rencontre a été interrompue quelques minutes pour faire cesser des chants homophobes.

 

Nice n'est pas parvenu à garder son avance contre le Paris FC qui a égalisé en fin de match (1-1) dimanche lors de la 6e journée de L1, et n'a pas retrouvé de sérénité avant son déplacement jeudi à Istanbul contre le Fenerbahçe.

 

Les dix dernières minutes de cette rencontre peu emballante et qui semblait acquise à Nice ont changé son issue. D'abord, l'arbitre Abdelatif Kherradji l'a suspendue en raison de l'insistance de chants insultants à caractère homophobe lancés par la tribune populaire sud de Nice.

 

La fébrilité niçoise

 

Il a fallu l'intervention de Jonathan Clauss, capitaine d'un soir, après deux demandes officielles du speaker du stade pour que ces chants à l'encontre des Parisiens s'arrêtent.

 

Cela a-t-il déstabilisé les Niçois? En tout cas, juste après, l'arbitre a sifflé pénalty à la suite d'une main de Moïse Bombito consécutive à une tête de Jean-Philippe Krasso (87e). Ce dernier a tranquillement égalisé alors qu'aucune des deux équipes n'était réellement supérieure en cette fin de rencontre.

 

Et une fois encore, Nice n'est pas parvenu à garder sa cage inviolée, une fois encore la fébrilité  des Aiglons s'est étalée. Pas de bon augure avant de défier Fenerbahçe jeudi en Ligue Europa, puis Monaco dimanche prochain. AFP

 

Réactions

 

Franck Haise :

Il y a eu des choses intéressantes, on a marqué un but et on aurait pu en marquer un deuxième. C'est ce qu'on aurait dû continuer à faire dès l'entame de la seconde période. Mais il y a un peu de fébrilité et on n'a pas été au bout de nos intentions. C'est ce que je regrette le plus. Parce que vous laissez l'adversaire y croire, surtout quand vous ne le faites pas reculer. On lui a laissé la possibilité d'égaliser

 

 Revue de presse

 

Le Paris FC continue à pousser mais sans vraiment se montrer dangereux, donnant l’impression d’avoir manqué sa chance. Il faut l’interruption du match à cause de chants homophobes des supporters niçois et une saute de concentration de Bombito dans sa surface pour offrir un pénalty aux Parisiens. Le Parisien.

 

 

Un premier avertissement est lancé par le speaker de l'Allianz Riviera, avec pour conséquence de voir l'intensité des chants redoubler. Une deuxième injonction d'arrêter n'a pas plus d'effet. Porteur du brassard, Jonathan Clauss - qui avait témoigné dans nos colonnes, en mai dernier, son soutien à la lutte contre l'homophobie - doit demander à ses supporters de cesser. Le jeu reprendra au bout de trois minutes, par une phrase prophétique de Jean-Louis Gasset sur l'antenne de Ligue 1+. « Attention, à la suite d'arrêt comme ça, il peut y avoir une faute d'inattention. »La remise en jeu du Paris FC a justement abouti à un centre de Maxime Lopez repris par Jean-Philippe Krasso, puis détourné de la main gauche par Moïse Bombito. Penalty, Krasso en a profité pour égaliser (1-1, 88e). « Même si on a marqué, je ne pense pas que l'interruption nous ait aidé, analysait Stéphane Gilli, l'entraîneur du PFC. On était déjà dans un temps fort avant cela. » « Je ne vais sûrement pas utiliser cette interruption comme d'une excuse, ça n'aurait pas de sens », écartait de son côté Franck Haise, son homologue azuréen, alors que la déconcentration des Niçois s'est opérée « au fil du match », selon Clauss. « Il y a des choses qu'on ne doit pas entendre dans un stade de foot, même ailleurs, a ajouté le défenseur. On est très contents que les supporters soient là tous les week-ends. Mais ces messages-là, non. »

Ils ont pourtant repris pendant les neuf minutes de temps additionnel, contraignant l'arbitre à une nouvelle interruption (90e+5), plus brève cette fois-ci. Avant que ne surgissent des sifflets pour protester contre le résultat final, venus d'un kop encore moins inspiré que son équipe.L'Equipe.

 

 

 Vu d'en face

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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