Les crocodiles sont capables du meilleur comme du pire comme les aiglons. Retrouvez toutes les infos, remises à jour quotidiennent.  

 

Votre nouveau maillot 100% original de l'OGC Nice, moins cher (76€) (-15% avec le code VCUKKB15, ce week-end seulement) avec livraison gratuite

 

 

  Les cotes

 

 



Où suivre la rencontre?

 

 Radio

RMC

France Bleu Azur

 

Multiplex

RTL

 

Vos places

 

 



 

Les stats

 

Victoire(s) Nice : 3 - Nul(s) : 3 - Victoire(s) Amiens : 1

 

Les 7 derniers OGC Nice - Amiens SC
 

22/12/2001 Ligue 2 Nîmes Olympique 0 - 3 OGC Nice

07/02/2001 Ligue 2 Nîmes Olympique 2 - 0 OGC Nice

02/02/2000 Ligue 2 Nîmes Olympique 1 - 1 OGC Nice

10/03/1999 Ligue 2 Nîmes Olympique 0 - 1 OGC Nice

14/03/1998  Ligue 2 Nîmes Olympique 0 - 0 OGC Nice

28/08/1993  Ligue 2 Nîmes Olympique 0 - 2 OGC Nice

08/12/1984  Ligue 2 Nîmes Olympique 4 - 2 OGC Nice

01/02/1981 Ligue 1  Nîmes Olympique 1 - 3 OGC Nice

27/05/1980 Ligue 1 Nîmes Olympique 0 - 1 OGC Nice

07/04/1979 Ligue 1  Nîmes Olympique 4 - 1 OGC Nice

 

 

 

 

Les news

 
10/11
 
Les équipes selon
 
Nice Matin
 
 
 
L'Equipe
 
 
 
 
09/11
 
Sans St Maximin et Srarfi...
 
Le groupe niçois : Benitez, Cardinale - Boscagli, Dante, Sarr, Burner, Hérelle, Atal, Jallet - Walter, Cyprien, Tameze, Makengo, Danilo - Myziane, Ganago, Sacko, Balotelli
 
Le groupe nîmois : Bernardoni, Valette - Briançon, Landre, Lybohy, Maouassa, Miguel, Paquiez - Bobichon, Savanier, Valls - Alioui, Bouanga, Bozok, Depres, Guillaume, Ripart, Thioub
 
08/11
 
Pierre Lees-Melou a repris l'entraînement collectif
 
07/11
 
Après Pirlo, Seedorf c'est au tour de Eto'o de regarder l'entraînement des niçois.
 
06/11
 
Benoît Bastien arbitrera la rencontre, assisté par Frédéric Haquette et Hicham Zakrani.
 
Premier déplacement pour la Secioun Ray Nissa. Le CDS organise aussi ce voyage en terre nîmoise.
 
 
 
 

 

 

 

Les déclarations d'avant-match

 

 

Olivier Boscagli :

Comme l’an dernier, leur jeu est basé sur l’attaque : un 4-4-2 qui se transforme en 4-2-4 sur les phases offensives. C’est à la fois une force et une faiblesse, notamment défensivement, dans la gestion de la profondeur. En L1, c’est peut-être un peu plus dur de ne défendre qu’avec la ligne de 4 et les 2 milieux axiaux, tu peux parfois prendre des vagues ou te faire contrer, mais ils gèrent ça de mieux en mieux. Ils attaquent à fond, défendent à fond, c’est grâce à ça qu’ils ont battu Marseille (victoire 3-1) et accroché Paris (qui s’imposera finalement 4-2 malgré une belle prestation nîmoise). C’est leur identité, ils ne vont pas changer. Il faudra faire attention car je sais qu’à la 85’, s'ils en ont besoin, ils n’hésiteront pas à monter à 8 ou 9, poussés par leur public. Ça peut être très dangereux, d’un côté et de l’autre... Site off

 

Wylan Cyprien :

Il faut continuer sur cette dynamique de victoires car le championnat est serré et tout peut aller très vite. Site off

 

Revue de presse

 

Balotelli à marée basse

L'Equipe

 

NICE – Samedi dernier contre Amiens (1-0), Patrick Vieira l’a sorti avant la fin, il n’a pas aimé et est rentré directement au vestiaire, balançant quelques insultes en italien en direction d’on ne sait qui. Il faut l’excuser, Mario Balotelli n’a toujours pas marqué cette saison, compteur bloqué à zéro but, en six matches de Ligue 1. Son dernier but avec Nice remonte à la 37e journée de la saison passée, un soir de doublé contre Caen (4-1), pour boucler le Championnat à dix-huit buts.


S’il veut à nouveau atteindre ces standards, en mai prochain, Super Mario va devoir s’y mettre. Il y a un an, après douze journées, il en était déjà à six buts en huit matches. Cette fois, sa préparation a été écourtée et il a mis du temps à retrouver la forme. Mais il n’y a pas que ça : sa nervosité est visible et la réussite le fuit dans des situations inhabituelles, comme sur cette reprise tout près du but de Régis Gurtner, le gardien picard, expédiée dans les tribunes.

« Rien de grave, il y a des périodes comme ça dans le football. Il va se relever, a estimé Patrick Vieira cette semaine. C’est un grand joueur, les attentes sont élevées pour lui. Il faut être patient, rater des occasions arrive à tout le monde.» La nouveauté, par rapport au début de saison, c’est que l’Italien en met plus dans ses matches. Le contenu est meilleur et son activité a été jugée suffisante pour inciter son coach à faire jouer l’équipe en 4-3-3, contre Amiens, avec Allan Saint-Maximin et Myziane Maolida à son côté.


Cette fois, à Nîmes, « Saint-Max », affaibli par une gastro-entérite, ne sera pas de la partie, et le profil du Gym pourrait être légèrement défensif. Il n’empêche, Nice aura des occasions et Balotelli des opportunités de conclure. « Mario est déçu, il s’en veut de louper ces occasions, poursuit Vieira. Mais je ne suis pas inquiet car physiquement il est mieux, il bouge mieux, il fait jouer, il marque à l’entraînement. »


Ce n’est pas la première fois que l’Italien traverse ainsi le désert. Six fois déjà, dans sa carrière, il a dû attendre plus longtemps avant de marquer, avec un record de dix-sept matches entre deux buts, entre septembre 2015 et mai 2016. C’était avec l’AC Milan. Les absences de Saint-Maximin et de Pierre Lees-Melou ne devraient pas conduire Vieira à modifier son système en 3-5-2 et Balotelli aura deux centreurs de qualité pour l’approvisionner, Atal, à droite, et Jallet, à gauche.


Charge à l’Italien de trouver la bonne formule avec Maolida. «Je regarde beaucoup la finition de Mario, disait hier l’ancien Lyonnais, toujours zéro but en L 1 cette saison, lui aussi. Il a une très bonne technique de frappe. Si je prends quelque chose chez lui, ça peut être bénéfique pour moi. Il me donne des conseils. On essaie d’avoir une meilleure relation sur le terrain, de créer des affinités à l’entraînement pour pouvoir les reproduire en match. J’espère que ça va payer. » Passé de la quatorzième à la neuvième place en deux journées, le Gym visera dans le Gard une quatrième victoire d’affilée, qualification en Coupe de la Ligue incluse (Bordeaux, 1-0, Auxerre, 3-2, Amiens, 1-0).

Les Crocos rempilent


« On va essayer d’être rigoureux et de mettre les mêmes atouts que contre Dijon (4-0, samedi dernier) », déclarait hier Anthony Briançon, le capitaine nîmois, avant la réception de Nice. Après avoir mis fin à une série de neuf matches sans gagner, Bernard Blaquart a reconduit le même groupe de dix-huit joueurs pour la première fois de la saison. L’entraîneur des Crocodiles est toujours privé de son latéral droit Sofiane Alakouch (en reprise après une lésion au fessier gauche), qui sera de nouveau remplacé par Renaud Ripart, excellent à ce poste face à Dijon. Le technicien devrait reconduire le même onze de départ qu’en Bourgogne, à moins d’aligner d’entrée Rachid Alioui, entré dans la dernière demi-heure le week-end dernier, à la place de Baptiste Guillaume, au côté d’Umut Bozok en attaque. Ce serait la première titularisation du Marocain depuis sa blessure en mai à un ischio-jambier.

 

 

Le collectif prend forme

Nice Matin

 

Deux clean-sheets consécutifs en championnat, des individualités qui haussent leur niveau et une émulation positive confèrent une belle dynamique à ce Gym

Quatre jours après la courte victoire contre Amiens (1-0), le résultat a pris bien plus de poids que la manière. «On récupère plus vite quand les résultats sont positifs », avait déjà souligné Patrick Vieira après la qualification décrochée en Coupe de la Ligue contre Auxerre (3-2).


Après deux jours off, les Aiglons n’ont repris l’entraînement qu’hier après-midi en prévision du déplacement à Nîmes (13e, samedi à 20 heures). Un rendez-vous compliqué pour des Azuréens qui peuvent néanmoins s’appuyer sur une dynamique positive afin de prolonger l’inédite série de trois victoires consécutives toutes compétitions confondues.


Une défense moins perméable


En parvenant à préserver son but inviolé pour la deuxième fois d’affilée en Ligue 1, Walter Benitez donne raison au revirement de Vieira quant au choix du gardien de but (voir chiffre également). Devant le portier argentin, Dante rayonne depuis plusieurs semaines dans une charnière centrale qui a trouvé une nouvelle solution dans la rotation avec Jallet. A 35 ans, l’ancien Lyonnais est un exemple quel que soit son rôle sur le terrain et incarne parfaitement les valeurs collectives « de volonté et de solidarité » que Vieira est heureux de retrouver dans son équipe. Aligné à gauche sur la fin de match contre Amiens, il a consolidé un couloir où Sarr ne se sent pas à l’aise, alors que Coly, plus alerte défensivement, et Boscagli, plus à l’aise avec le ballon, tardent à s’affirmer complètement.


Cyprien revient bien


Une marge de progression dans les performances que Wylan Cyprien a amorcée pour sa part. Le milieu de terrain retrouve du dynamisme dans ses courses et de la précision technique. De bon augure dans un entrejeu où la dernière bonne entrée en jeu de Rémi Walter confirme que la concurrence s’est densifiée. Encore un bon point pour le collectif de Vieira.


Myziane progresse


Neuvième à trois longueurs du cinquième, Nice reste le vilain petit canard du Top 10 avec Reims en terme d’efficacité offensive (9 buts, 8 pour Reims). Si Saint-Maximin et Balotelli ont été recadrés samedi soir par Patrick Vieira pour être directement rentrés au vestiaire à la sortie de leur prestation laborieuse, le coach niçois a pu compter sur la montée en puissance de Myziane, décisif contre Auxerre et Amiens.
Quand ce trio réussira à jouer la même partition, le concert offensif sera nettement plus bruyant.