Troisième match de poule pour Nice et quel match!  Le match aura lieu jeudi 19/10 à 19h00. Retrouvez toutes les news, remises à jour quotidiennement.

 

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Les infos de l'UEFA

 

Les deux premiers du Groupe K se préparent pour un match qui promet d'être relevé !

 

Antécédents


• Les deux équipes se rencontrent pour la première fois.

• Le seul match de Nice contre un adversaire italien s'est joué cette saison contre le Napoli, en barrages de l'UEFA Champions League. Les Niçois ont perdu 2-0 à l'aller et 2-0 au retour.

• En seize matches contre des clubs français, la Lazio compte 6 victoires, 4 nuls et 6 défaites (4 v., 2 n. et 2 d. à Rome, et 2 v., 2 n. et 4 d. en France). Elle s'était d'ailleurs inclinée 6-0 à Lens au second tour de la Coupe UEFA 1977/78. Cela reste sa plus lourde défaite en compétition UEFA.
Temps forts : Nice 3-0 Vitesse
Temps forts : Nice 3-0 Vitesse

 

Forme du moment


• Les deux équipes ont remporté leurs deux premiers matches dans le Groupe K.

• Nice, Milan et le Zenit sont les équipes les plus prolifiques de la phase de groupes avec huit buts chacune (une moyenne de quatre par match). Le Milanais André Silva, Le Niçois Alassane Plea et le joueur du Zenit Aleksandr Kokorin sont en tête du classement des buteurs avec quatre réalisations chacun.

• La Lazio est invaincue en six matches européens à l'extérieur (2 v., 4 n.). Les Romains sont aussi invaincus depuis dix matches en UEFA Europa League (3v., 7n., de la phase de groupes à la finale), à une marche du record détenu par la Fiorentina.

• Battu cette saison en barrages de l'UEFA Champions League par le Napoli, Nice a fait ses débuts en phase de groupes de l'UEFA Europa League en 2016/17 mais n'a pas réussi à se qualifier.

• Finaliste malheureuse de la Coupe UEFA 1998 (et vainqueur de la dernière Coupe des vainqueurs de Coupe de l'UEFA l'année suivante), la Lazio est de retour après une saison d'absence. Elle avait atteint les 8es de finale en 2015/16.
Temps forts : Lazio 2-0 Zulte Waregem
Temps forts : Lazio 2-0 Zulte Waregem

 

Bon à savoir


• Distance Rome - Nice : 470 km.

• La Lazio est à deux réalisations de la barre des 200 buts en compétition de club UEFA : il s'agira de sa 180e rencontre européenne.

• Le match se tiendra le lendemain du 34e anniversaire du Niçois Dante.

• Le Niçois Wesley Sneijder a joué en Italie, à l'Inter, de 2009 à 2013, et a remporté l'UEFA Champions League – ainsi qu'un doublé coupe-championnat – lors de sa première saison.

• L'attaquant italien de Nice Mario Balotelli a aussi joué à l'Inter (2007-10) ainsi qu'à l'AC Milan (2013-14) ; il n'a jamais marqué en cinq matches contre la Lazio (1 v., 3 n., 1 d.).

• Balotelli et Lucas, le joueur de la Lazio, ont joué ensemble à Liverpool (2014-15).

• Le défenseur de la Lazio Wallace a joué en France, à Monaco (2014-16).

• Suspendu au prochain match en cas de carton : Balotelli (Nice).

 

Les entraîneurs


• L'ancien milieu de terrain suisse Lucien Favre est aux manettes de Nice depuis mai 2016. Il s'est forgé une belle réputation en remportant deux titres de champion de Suisse de rang avec Zurich, avant des passages réussis au Hertha Berlin et à Mönchengladbach en Allemagne.

 

• Coach de la Lazio depuis 2016, Simone Inzaghi a joué au club en tant qu'attaquant entre 1999 et 2010. Il y est ensuite resté pour entraîner les équipes de jeunes. C'est le petit frère de l'ancien international italien Filippo Inzaghi ; ils ont d'ailleurs commencé ensemble, à Piacenza, club de leur ville d'origine.

 

 

 

Les news

 

18/10

Le groupe niçois : Cardinale, Benitez -  Jallet, Souquet, Sarr, Burner, Dante, Marlon, Le Marchand - Milieux de terrain : Koziello, Mendy, Lusamba, Walter, Lees-Melou - Balotelli, Plea, Sneijder, Srarfi.

 

La composition probrable de la Lazio : Strakosha - Bastos, Luiz Felipe, Radu - Patric, Murgia, Di Gennaro, Milinkovic, Lulic - Nani, Caicedo.

 

17/10

Craig Thomson arbitrera la rencontre, assisté deGraeme Stewart et Stuart Stevenson.


 

 

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Les déclarations d'avant-match

 

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Allez-vous changer de système ?


Lucien Favre:  Même après le premier match contre Monaco, j’avais dit que dans ce système-là (4-4-2), ça pouvait être fragile. Ça tient à des détails, et une fois qu’ils seront corrigés l’équipe sera plus solide défensivement. Mais ça ne remet rien en cause : le 4-4-2 peut nous servir. Il ne faut pas oublier qu’il nous a permis de sortir la tête de l’eau. On a aussi perdu deux fois où on ne devait pas perdre. Ça tient à rien du tout. Mais comme je l’ai déjà dit, il faut essayer d’autres organisations, les travailler à l’entraînement pour les retranscrire en match. Pour demain (jeudi) je ne sais pas encore. Il y a quelques petits pépins, on verra qui est là, on doit faire le constat aujourd’hui.

 

Quel regard portez-vous sur cette équipe de la Lazio ?


C’est un des grands clubs italiens, c’est indiscutable. Ils ont eu pas mal de hauts et de bas ces dernières années, mais ils ont ressurgi. L’an passé ils étaient bien classés et cette saison ils sont encore un poil mieux. Quand ils vont gagner à la Juve la semaine passée (2-1), ça veut dire ce que ça veut dire... C’est une bonne équipe. On sait ce que c’est, on a affronté Naples, qui est leader en Italie.


favre17Favre : « Sneijder est prêt »

 

Après l’Ajax et Naples, un nouveau gros morceau se dresse sur votre route. L’expérience engrangée cet été peut-elle vous servir ?


Bien sûr. On apprend à chaque match. Chaque victoire, chaque défaite doit nous servir. La Lazio est une grosse pointure qui tourne bien actuellement. Contre l’Ajax, on est passé, puis contre le Napoli ce n’était pas une leçon mais c’était très, très dur. On doit retenir certaines choses : comment et à quelle vitesse ils se déplacent, le nombre de mouvements, de courses. Leur technique en mouvement par exemple. C’est du très, très haut niveau.

 

Où en est Wesley Sneijder ?


Il a pu s’entraîner normalement cette fois-ci, avec des bonnes séances. Je pense qu’il sera dans le groupe, ça c’est sûr. Je pense qu’il est prêt. Il a fait de bonnes séances, avec notamment du physique. Ça fait un moment qu’il n’a pas joué mais ça devrait aller. Au départ, il est arrivé avec pas mal de retard puis s’est blessé. Et après, quand ça marchait en 4-4-2, ce n’était pas obligatoire de tourner. Maintenant on verra, je le vois plutôt 9 et demi.

 

 

UEFA.com : Déjà quatre buts en UEFA Europa League cette saison, vous êtes le meilleur buteur. Ce sont des débuts extraordinaires, est-ce qu'on peut s'attendre à la même chose pour la suite ?


Alassane Pléa : On va essayer ! Cette année, on a très, très bien débuté en UEFA Europa League. On a mis beaucoup de buts, on a deux victoires. L'année passée, on n'était pas préparés. On a été surpris par l'intensité, l'intensité des matchs, le physique. C'était au-dessus. C'était beaucoup plus fort que la Ligue 1. Aujourd'hui, je pense que nous sommes un peu plus préparés, nous abordons mieux les matches. Cela se voit. On a super bien commencé. Dans cette compétition, on envie d'aller beaucoup plus loin. On en a les moyens. On va essayer de se qualifier.plea2017b

 

Marquer un but dans le championnat de France et marque un but en Europe, est-ce que ce sont des saveurs différentes ?


Oui, il y a beaucoup de saveur dans une compétition européenne. C'est contre les équipes étrangères. C'est regardé par beaucoup de monde. La Coupe d'Europe, cela a une saveur particulière. Nous avons tous envies de la jouer. Il y a des gens qui rêvent de la jouer et de marquer dans cette compétition.

 

Bon ça risque d'être un peu difficile contre la Lazio dans les deux prochains matches...


C'est vrai, nous nous attendons à deux matchs de costauds. C'est une très, très belle équipe. On a vu des images. Ils sont très, très bien. Ce seront deux matches charnière. Nous sommes attendus. On va aller là-bas pour un match compliqué. On a toutes les qualités pour faire quelque chose là-bas, ramener des points. On sait que si on gagne là-bas on sera en bonne position pour se qualifier. C'est un club italien, ce sera un match rugueux. Ce sera compliqué, mais c'est des matchs qu'on a envie de jouer parce que la Lazio, c'est un très grand club. On a envie de briller dans ces matches quand on est joueurs.

 

Nice a changé de tactique cette saison. Est-ce que cela vous convient mieux et a-t-il été facile de s'adapter ?


plea18C'est vrai que toute l'année passée nous avons joué en 4-3-3 et nous ont perdu beaucoup de joueurs à l'intersaison. En ce début de saison, nous avons eu du mal à trouver notre schéma de jeu. Depuis quelque temps, nous sommes passés en 4-4-2 et cela nous a souri. Nous avons remporté des matchs et dans le jeu, nous sommes mieux. Jouer à deux devant nous donne plus de poids offensif avec l'apport des couloirs. Au début, c'est un peu difficile. Mais à l'entraînement on travaille énormément sur le plan tactique. Nous travaillons ce schéma. On en est de mieux en mieux sur le terrain. On a des petits ajustements à faire. Pour l'instant c'est le schéma qui nous convient.
Nice a déjà battu Zulte-Waregem et le Vitesse
Nice a déjà battu Zulte-Waregem et le Vitesse

 

La saison dernière a été exceptionnelle (3 place en Ligue 1). Est-ce que vous vous y attendiez ?


Il y a deux ans déjà nous avion terminé à la quatrième place. À l'intersaison, quand nous avons vu les joueurs qui sont arrivés, à l'entraînement comment ça jouait, ça joue super bien. On s'est dit qu'on pouvait faitre quelque chose dans ce championnat. Après, on s'en est donné les moyens. On s'est donné à fond à chaque match. C'est vrai que c'était une saison exceptionnelle. Finir troisième, c'était très, très bien. Dans le jeu, nous avons pris beaucoup de plaisir. C'était magnifique, historique pour le club de finir troisième. C'était bon de jouer les barrages en Champions League (défaite contre Naples). Le club de l'avait jamais fait. Franchement, c'était quelque chose d'exceptionnel.

 

En février, vous vous êtes gravement blessé. Dans ces cas-là, quels sentiments éprouve-t-on ?


Oui, c'est un sentiment bizarre. C'était une très belle saison. J'étais bien. J'avais de bonnes statistiques. Se blesser à nouveau, pour la deuxième fois en deux ans, c'était triste. Mais je me suis vite remis dedans. J'espérais que mes coéquipiers fassent une superbe saison. Je savais que j'avais en profité la saison d'après. J'étais à fond derrière. C'est vrai que c'est frustrant de ne pas pouvoir les aider. Mais ils s'en sont supers bien sortis. Je me suis soigné et grâce à eux on a joué les barrages et on s'est qualifiés en UEFA Europa League.

Quelles ont été vos idoles de jeunesse ?


Des attaquants. Ronaldo R9, Thierry Henry aussi. C'était mon idole de jeunesse. J'ai toujours été attiré par des attaquants. Thierry Henry était mon idole.

Qu'avait-il de spécial ?

*
Son style, c'est un buteur. Sur le terrain, j'aimais sa classe. Après, il a fait une carrière exceptionnelle. Il a joué à Arsenal... partout il a marqué. Ce fut un très, très grand joueur.

 

Alassane PleaQui en particulier vous a appris des choses que vous avez intégrées dans votre jeu ?


À Lyon, ce n'était pas un joueur, c'était plus un entraîneur, l'entraîneur des attaquants, c'était Sonny Anderson. Avec lui on a travaillé énormément devant le but. Il m'a donné énormément de conseils. Là-bas, j'ai appris beaucoup de choses. Après, j'ai joué avec de grands joueurs comme Ben Arfa, Lisandro Lopez, Gomis. C'étaient des très grands joueurs. Ils m'ont toujours dit que j'avais la qualité et que je devais travailler. Pour moi, il n'y a que le travail qui paye. Voilà les conseils qu'ils m'ont donnés.

Est-ce que votre jeu a évolué entre début de votre carrière est aujourd'hui ?


Oui, j'ai énormément progressé. J'ai pas été formé attaquant. L'entraîneur Puel n'a remplacé en neuf à Nice. Depuis la première saison, mon jeu a beaucoup évolué. Physiquement, dos au but, j'ai énormément progressé. Je suis content de cela. Je sais que j'ai encore une marge de progression. Je travaille pour être au mieux. C'est bien de pouvoir progresser comme ça.

 

Pour vous quelle est la qualité la plus importante pour un attaquant ?


Le sens du but, la finition, un attaquant, on lui demande de marquer des buts. Il faut qu'il ait des statistiques. Après, je n'ai pas été formé avec la mentalité du tueur. Je travaille aussi beaucoup pour aider l'équipe. Plus de saisons passent, plus je deviens tueur. Sur les statistiques, je progresse saison après saison. Il y a des attaquants comme Mario et chez qui c'est inné, c'est dans leur jeu. Chez d'autres, cela vient avec le travail. Moi je suis plutôt de cette catégorie. J'ai besoin de travailler sur la chaque jour à l'entraînement.

 

 

 

Revue de presse