Jean-Pierre Rivère, le président Niçois, garde confiance en son entraîneur Claude Puel pour redresser la situation après la défaite à Reims (0-1), la septième de suite.
«Jean-Pierre Rivère, comment réagissez-vous à cette tragique défaite à Reims à la dernière seconde, la septième consécutive ?
C’est un résultat un peu cruel. On méritait au minimum un nul si ce n’est la victoire. La mauvaise série continue, mais les joueurs ont eu une bonne réaction après Monaco (0-3, mardi dernier). Il reste deux matches à la maison (contre Sochaux et l’Evian-TG) pour inverser la tendance. Dans les moments comme ça, il faut rester unis et soudés.
«Il n'y a pas de débat sur Claude. C'est le coach qu'il nous faut.» Vous maintenez donc votre confiance à Claude Puel ?
Je ne me pose même pas la question. Ce n’est pas le sujet. Avec Claude, on a un projet sur plusieurs années, on traverse une passe difficile, une petite tempête, mais on ne bouge pas et on garde le cap. C’est dans les moments difficiles qu’il faut se montrer solidaires. Il est déçu, comme les joueurs. Il faut prolonger l’état d’esprit de Reims et le bonifier dans les deux derniers matches de Championnat de l’année. Et puis la saison est longue et on commence à récupérer des cadres (le gardien David Ospina pourrait revenir à son tour contre Sochaux samedi prochain après six semaines d'absence et une blessure au genou droit). On n’est pas là pour baisser les bras. Mais c’est sûr qu’un succès contre Sochaux serait le bienvenu.
Votre coach résisterait-il à une huitième défaite d’affilée ?
Encore une fois, il n’y a pas de débat sur Claude. C’est le coach qu’il nous faut. Hier soir (samedi), il a manqué un brin de réussite. Tout ça ne remet pas du tout en cause sa compétence.
Allez-vous recruter au mercato ?
Ce n’est pas la préoccupation du moment. On va regarder les sujets les uns après les autres. La priorité, c’est le match de Sochaux.»
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