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Les stats

 

Victoire(s) OGC Nice  : 13 - Nul(s) :  - Victoire(s) Montpellier Hérault SC : 4

  

Les 10 Derniers OGC Nice - Montpellier HSC
 
22/04/2018 Ligue 1  OGC Nice 1 - 0 Montpellier Hérault SC

24/02/2017 Ligue 1  OGC Nice 2 - 1 Montpellier Hérault SC

18/12/2015 Ligue 1  OGC Nice 1 - 0 Montpellier Hérault SC

04/10/2014 Ligue 1  OGC Nice 1 - 1 Montpellier Hérault SC

01/09/2013 Ligue 1  OGC Nice 2 - 2 Montpellier Hérault SC

10/03/2013 Ligue 1  OGC Nice 2 - 0 Montpellier Hérault SC

28/01/2012 Ligue 1  OGC Nice 0 - 1 Montpellier Hérault SC

20/11/2010 Ligue 1  OGC Nice 0 - 1 Montpellier Hérault SC

29/08/2009 Ligue 1  OGC Nice 0 - 3 Montpellier Hérault SC

07/12/2003 Ligue 1  OGC Nice 2 - 1 Montpellier Hérault SC

 

 

 

 

Les news

 
 
07/04
 
Les équipes selon
 
Nice Matin
 
 
 
L'Equipe
 
 
 
05/04
 
Absents à Dijon,Malang Sarr etAllan Saint-Maximin sont disponibles pour la réception de Montpellier. Ignatius Ganago, Mickaël Le Bihan et Gautier Lloris ont également repris l’entraînement collectif. Youcef Atal (cuisse),Christophe Jallet (mollet),Myziane Maolida (cheville) et Adrien Tameze (lombalgie) sont toujours en soins. NM
 
 
03/04
 
Ruddy BUQUET arbitrera la rencontre, assisté de Guillaume DEBART et Julien PACELLI.
 
Montpellier joue ce soir contre Guigamp. En cas de victoire, les montpellierains passeraient devant le Gym! 
 

 

  

 

 

 L'interview

 


Gauthier Ganaye

Le Figaro

 

Quelles sont vos impressions après deux mois à la tête de l’OGC Nice ?

 

Je me sens au bon endroit au bon moment. Dans un grand club français avec une histoire et un public. C’est très structuré, que ce soit les infrastructures ou sur le plan humain avec une organisation qui fonctionne mais reste perfectible. On est en train d’améliorer tout ça et je me dois d’insuffler une énergie. Après deux mois, je me sens niçois.


Quelle feuille de route a été fixée par vos patrons ?


Développer le club et jouer l’Europe régulièrement.

 

Nice sort de huit ans sous la présidence Rivère avec des résultats probants. Que souhaitez-vous faire de mieux ?

 

Le club s’est développé très fortement, mais les dirigeants se sont concentrés uniquement sur la locomotive du sportif. Ce n’est pas une critique, mais on n’a pas capitalisé commercialement sur ce succès. Structurellement, on perd beaucoup d’argent, mais quand on fait les ventes de joueurs, Nice reste à l’équilibre. C’est une bonne et mauvaise nouvelle. Je souhaite qu’on arrive à terme à l’équilibre financier d’un point de vue opérationnel et que toute vente de joueurs soit du bonus et réinvestie à 100 % dans l’équipe.

 

Comment inverser cette tendance et dégager de nouveaux revenus ?

 

Déjà, l’augmentation des droits TV va nous aider. À condition de ne pas tout dépenser dans les transferts, l’erreur que feront beaucoup de clubs. C’est aussi développer nos revenus commerciaux pour diminuer cette dépendance au « trading » des joueurs. Aujourd’hui on a des atouts énormes. Nos infrastructures, une ville de premier plan, le 2e aéroport de France après Paris… Ce que la quasi-totalité des clubs de Ligue 1 n’ont pas. On doit faire beaucoup mieux d’un point de vue sponsoring. Par exemple, chaque jeudi on a un petit déjeuner business. Ça dure une heure, c’est réactif. Le sponsoring classique, comme il y a dix ans, avec un entrepreneur local qui va se faire plaisir en dépensant son argent, c’est fini. Aujourd’hui, il y a une mutation. L’OGC Nice doit être un accélérateur de business pour les chefs d’entreprise. De façon générale, en dehors de quelques clubs, on n’arrive pas à emmener les grosses sociétés sur du sponsoring sportif. D’où notre approche business différente et assumée.

 

ganaye

 

La marque « OGC Nice » a-t-elle l’ambition de s’installer dans le paysage du foot français ?

 

Ce club ne rend pas indifférent. Soit tu adores, soit tu détestes. On est clivant et pour un annonceur, c’est plus intéressant qu’un club neutre. Il faut aussi construire des offres sur-mesure pour notre public. On a recruté un directeur des opérations commerciales qui chapote le B2B et le B2C. Il a fallu faire prendre conscience à l’ensemble des services du club qu’il faut générer plus de revenus. On doit amorcer la dynamique et être capable d’améliorer la formation de nos jeunes joueurs. Économiquement, cela doit être au cœur de notre modèle. Gilles Grimandi, qui aura la responsabilité du sportif, incarne cette connaissance du très haut niveau. Il va amener de la rigueur et la science du détail. Après, il y a l’utilisation de la data. Je ne suis pas en train de dire qu’on va tout révolutionner et tout baser là-dessus, ce serait une erreur. Mais mener parallèlement à un scouting traditionnel des études data, pourquoi pas. Il faut innover. Aujourd’hui on travaille dans le sport qui génère le plus de revenus au monde et qui utilise le moins la data. Ce n’est pas normal.


Pouvez-vous promettre aux Niçois que Patrick Vieira sera là en août prochain ?

 

Je ne fais jamais de promesse, mais je n’ai pas de doute qu’il sera là la saison prochaine. Il est à 100 % dans le projet et a envie de continuer avec nous. Il dégage calme et sérénité, a la connaissance du haut niveau, la culture de la gagne. C’est déjà un très bon entraîneur, à la renommée mondiale, mais ce sera un très grand entraîneur. Je veux que les Niçois se reconnaissent dans l’équipe et qu’on l’amène en Coupe d’Europe régulièrement.

 

Nice va-t-il encore recruter des joueurs renommés comme les Balotelli, Belhanda ou Sneijder ces dernières saisons ?

 

Oui, sans doute, mais je préfère que le joueur se fasse un nom chez nous. Bien sûr qu’on fera des coups et Nice restera très attractif. Notre fin de saison peut nous permettre d’être 5e ou 10e, tout reste ouvert. On a un vrai coup à jouer et j’y crois…

 

Les déclarations d'avant-match

 

Patrick Vieira :

Ce qui est important pour nous c’est d’être dans une position qui nous permette de rêver d'Europe. Notre position actuelle nous le permet. Il reste huit matchs, tout est encore possible.

 

On va essayer de finir cette saison du mieux possible. Montpellier est une équipe très bien organisée. On veut avoir la possession du ballon et faire un gros match.

 

 

Revue de presse 

 

Lequel peut y croire ?

L'Équipe

 

Nice et Montpellier rêvent encore de finir à la cinquième place de L 1. L’éventuel vainqueur de leur duel, cet après-midi, s’en approchera.Le calendrier Nice plus souvent chez luiLes deux équipes auront trois adversaires en commun d’ici la fin de la saison, Paris, Nantes et Saint-Étienne. Le reste de leur programme semble équivalent : le Gym doit affronter Caen, Guingamp, Rennes et Monaco, alors que Montpellier va jouer contre Toulouse, Strasbourg, Amiens et Marseille. L’OGC Nice aura l’avantage de disputer cinq de ses huit derniers matches à domicile, quand Montpellier aura quatre matches à la maison et quatre à l’extérieur, le premier ce soir. La dynamique est plutôt niçoise depuis le début de l’année : l’équipe de Patrick Vieira tourne à une moyenne de 1,5 point par match, contre 1,15 pour celle de Michel Der Zakarian. Sur leurs quatre derniers matches, c’est kif-kif : deux victoires, un nul et une défaite chacun.

 

Le jeu Le Gym stérile, le MHSC à nouveau hermétique


Nice a remporté huit de ses douze victoires en L 1 sur le score de 1-0. C’est la conséquence d’un secteur offensif déficient (19e attaque du Championnat) et d’une animation décevante. Il se passe peu de choses dans le jeu niçois et encore moins lorsque l’adversaire est regroupé, ce qui devrait être le cas de Montpellier. Ambitieux sans être spectaculaire, le Gym est solide, mais ses périodes de possession souvent stériles.

 

En l’absence de son défenseur portugais Pedro Mendes, blessé contre Paris (1-5, le 20 février), Montpellier avait encaissé quatorze buts en cinq matches. Dès son retour, mercredi, contre Guingamp (2-0), l’équipe a retrouvé une assise défensive et le trio qu’il reforme avec Hilton et Congré est un atout. La condition physique du groupe, perturbée en décembre par les nombreux reports de match dont le club a été victime, est redevenue en phase avec ses ambitions. Quand l’axe défensif et le physique vont, Montpellier s’en sort plutôt bien. Mais c’est une équipe qui se livre peu et n’a pas autant besoin d’avoir le ballon que le Gym.

 

Les joueurs Quatre mascottes d’Azur, duo de buteurs dans l’Hérault


Leur réussite ou leur échec, dans la dernière ligne droite, dépendra du rendement de leurs meilleurs joueurs. Les fulgurances d’Allan Saint-Maximin, la folie de Youcef Atal, les coups francs de Wylan Cyprien et les arrêts de Walter Benitez, voilà sur quoi reposent principalement les chances niçoi-ses. Il ne faudra pas qu’ils flanchent car le reste de l’équipe fait peu de différences et l’effectif manque de profondeur.

 

Gaëtan Laborde (10) et Andy Delort (11) ont inscrit 50 % des buts du MHSC en L 1 (21 sur 42) et sont l’arme numéro 1 de leur équipe. Si Florent Mollet retrouve son niveau de début de saison et plus de régularité, il formera avec eux le trio idéal. Après une entame extraordinaire, qui l’avait amené en équipe de France, Benjamin Lecomte, le gardien héraultais, vit une période plus normale. Moins décisif ces derniers temps, il aura un rôle important. Enfin, Ruben Aguilar est à Montpellier ce qu’Atal est à Nice, un arrière droit par qui le jeu et les occasions passent. Ces joueurs (à l’exception d’Atal) sont actuellement sur le pont et c’est une bonne nouvelle pour les deux équipes

 

 


Patrick Vieira, ça calme

Mifdi Libre

 

 

« Ce que je n’ai vraiment pas aimé, c’est le manque d’envie, de détermination, ça m’a dérangé. » Ce 22 septembre, dans les entrailles de La Mosson où son OGC Nice vient de perdre 1-0, Patrick Vieira est fidèle à lui-même. Un temps mort entre deux questions, le coach déplie ses immenses compas et tourne les talons. Ainsi va Vieira, géant de fer servi par une voix de velours.

 

« Il avait une très grande maturité et un très grand charisme et ça se reproduit sur son travail d’entraîneur », résumait Lilian Thuram auprès de nos confrères de France Bleu Azur. À Nice, pour sa première expérience en tant que coach dans l’Hexagone, le champion du monde 1998 n’a rien perdu du patron du milieu qu’il était à la Juve, à Manchester City et surtout à Arsenal.

 

Un pedigree XXL qui peut donner envie à certains de sauter la case apprentissage du coaching. Pas lui. « Plus sérieux que talentueux » comme il se décrit lui-même, “la pieuvre” a préféré creuser son sillon pas à pas. L’élève Vieira a d’abord pris en mains les U21 de Manchester City pendant deux ans. Avant de franchir l’Atlantique et le cap des seniors du côté de New York City en MLS aux États-Unis. Jusqu’à la Côte d’Azur où, clin d’œil de l’histoire, il avait aussi fait ses débuts de joueur pro à l’AS Cannes (1993-95).

 

Affect et rigueur

 

Passer après Lucien Favre, aujourd’hui à Dortmund, gérer le cas Mario Balotelli et la perte d’Alassane Pléa (16 buts en L1 la saison passée), la mission n’avait rien d’une balade de santé sur la promenade des Anglais. Vieira a tenu bon, s’adaptant à une équipe jamais renforcée offensivement.

 

Phare dans la tempête, le natif de Dakar a appliqué ses méthodes. Un management à la fois ultra-rigoureux et flexible. Autre clé de la patte Vieira, l’affect. « On a des liens forts avec le coach. Il dialogue beaucoup avec ses joueurs et il leur apprend beaucoup de choses », expliquait Myziane Maolida. Un père qui sait manier la baguette comme lorsqu’il tacle un Saint-Maximin grippé début février. « Il a décidé qu’il était malade […] C’était sa décision à lui, pas celle du docteur, pas celle de l’entraîneur. »

 

Depuis, le calme est revenu sur la Riviera et Nice n’a pas encore dit adieu à la Ligue Europa. Mais le flegme de Patrick Vieira pourrait encore être mis à rude épreuve. Après les départs du président Jean-Pierre Rivère et de son directeur général Julien Fournier en janvier, l’OGC Nice fait face à une offensive de la plus grosse fortune du Royaume-Uni, Jim Ratcliffe, désireux de racheter le club.

 

 


Montpellier, le devoir d’y croire

Midi Libre

 

Toujours pas décrochés de la course à l’Europe, les Héraultais ont un gros coup à faire sur la Côte d’Azur face à un concurrent.

 

La ligue 1 est quand même un drôle de championnat. En première partie de saison, quand les supporters pailladins regardaient le classement de leur équipe, sur le podium ou juste en dessous, il leur arrivait d’écarquiller grand les yeux en voyant Marseille à quelques petites longueurs derrière malgré une campagne vraiment pas folichonne. Plusieurs mois plus tard, les rôles sont inversés. Montpellier traîne la patte (3 succès en 2019) mais il a toujours le droit de rêver d’Europe.

 

« Si on peut encore jouer l’Europe, c’est grâce à notre première partie de saison, disait d’ailleurs Ruben Aguilar vendredi. On reste dans le coup. On n’est pas chanceux, on s’est donné les moyens d’être là. On va essayer de finir sur une bonne note. »

 

Revenu à trois petites unités d’un OM cinquième mais balbutiant grâce à son succès mercredi face à Guingamp (2-0), le MHSC a en plus donné à revoir une équipe à nouveau compacte, avec un clean-sheet jamais anodin chez Michel Der Zakarian et ses hommes. « Ça faisait un moment qu’on avait du mal à être cohérents collectivement sur la durée d’un match », appréciait MDZ.

 

Nice, même avec la 18e attaque (3e défense), ne sera sûrement pas du même tonneau. Il n’empêche, « on respire toujours mieux après une victoire, surtout celle-là, souriait Aguilar. Et on respirera encore mieux dimanche si on va gagner à Nice. »

 

La Ligue 1 est un drôle de championnat où rien n’est jamais joué. Une série peut tout changer. Le MHSC court après un enchaînement positif depuis novembre où son succès face à… l’OM (3-0) venait de s’ajouter à celui acquis à Toulouse (0-3).

 

L’Allianz Riviera, gazon maudit

 

Sur la Côte d’Azur, il a le devoir d’y croire. Comme les Niçois, bien calés à un petit point derrière. « Il y a un bon coup à faire pour les deux équipes, reprend le latéral droit héraultais. C’est un match important mais on ne se met pas de pression. »

 

Der Zak’a fait ses calculs : à huit rencontres du terme de la saison, si l’objectif est le « carton plein à la maison », il faudra « un exploit face à un concurrent direct ». Strasbourg, Saint-Étienne et Marseille attendent La Paillade. Avant, il y a donc les Aiglons dans une Allianz Riviera où les Héraultais n’ont jamais gagné (3 défaites, 2 nuls).

 

Même si Patrick Vieira a inoculé un froid réalisme (10 victoires sur 12 d’un but) à une équipe privée de ses gâchettes (Balotelli, Pléa), Montpellier doit avoir de la mémoire. Le 22 septembre dernier, la réception de Nice avait coïncidé avec le premier but de Gaëtan Laborde (1-0) et un style moins attentiste. Pourquoi ne pas refaire le coup ? Après tout, la Ligue 1 est un drôle de championnat