Le match aura lieu dimanche à 17h

 

Match important pour les aiglons après leur prestation inaboutie de Nice- Angers ... Retrouvez toutes les infos, remises à jour quotidiennent.

 

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Les stats

 

Victoire(s) Nice : 29 - Nul(s) : 14 - Victoire(s)  Nice : 13

 

Les 10 derniers OGC Nice - AS Saint-Etienne
 

21/01/2018 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 AS Saint-Etienne

08/02/2017 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 AS Saint-Etienne

07/05/2016 Ligue 1 OGC Nice 2 - 0 AS Saint-Etienne

14/12/2014 Ligue 1 OGC Nice 0 - 0 AS Saint-Etienne

24/11/2013 Ligue 1 OGC Nice 0 - 1 AS Saint-Etienne

20/10/2012 Ligue 1 OGC Nice 1 - 1 AS Saint-Etienne

19/11/2011 Ligue 1 OGC Nice 0 - 2 AS Saint-Etienne

17/10/2010 Ligue 1 OGC Nice 2 - 1 AS Saint-Etienne

15/05/2010 Ligue 1 OGC Nice 1 - 1 AS Saint-Etienne

26/04/2009 Ligue 1 OGC Nice 3 - 1 AS Saint-Etienne

 

 

 

 

Les news

 
 
15/12
 
Les équipes 
 
selon Nice Matin
 
 
L'Equipe
 
 
 
14/12
 
Contrairement à ce qui nous avait été annoncé Coly pourrait faire son retour dimanche alors que Makengo sera forfait à cause d'une élongation.
 
13/12
 
La rencontre est reportée à dimanche 17h.
 
12/12
 
Les supporters ne sont pas seulement des vaches à lait. Un minimum de respect est demandé à l'OGC Nice, à la LFP et aux autres clubs de L1. Le coup de la préfecture est simplement risible! Pourquoi ce serait mieux dimanche que vendredi?
 
Nantes-Montpellier : Les deux clubs et la Ligue, avec l'accord des deux coaches, ont donc envoyé en début de soirée une demande à la préfecture de Loire-Atlantique afin d'avancer la rencontre à vendredi soir, à 20h45, à la place de Nice-Saint-Etienne.
 
Le match pourrait donc être reporté... Les supporters niçois ne sont pas à la disposition de tous les aléas de tous les clubs.
 
11/12
 
Thomas LEONARD arbitrera la rencontre assisté de Gilles LANG et Frédéric HEBRARD
 
10/12
 
Mathieu Debuchy et Gabriel Silva seront absent pour ce match tout comme Neven Subotic .
 
Dante sera de retour pour cette rencontre. Christophe Jallet ne sera pas de retour tout comme comme Coly.
 
 

 

 

 

Les déclarations d'avant-match

 

 

Jean-Louis Gasset :

C’est une équipe en pleine euphorie qui est contente de jouer contre Saint-Étienne. Nous aussi, nous sommes contents de jouer, c'est notre métier. Et quoi qu'il arrive, on n'aurait pas récupéré nos blessés ou nos suspendus qui doivent encore purger leur match », a-t-il indiqué ensuite... Sur nos deux derniers matchs à l'extérieur (à Lyon et Bordeaux, ndlr), on a très, très bien joué, mais on n'a pas ramené un seul point. Contre Nice, on risque peut-être d'être moins beaux voir à jouer, mais qui sait, c'est peut-être là où on rapportera des points.

 

Yannis Salibur : 

Nice est très solide défensivement, et possède des joueurs offensifs talentueux. Ce sera à nous de faire valoir nos forces et avoir plus envie qu'eux ... Prendre 6 points avant la trêve serait l'idéal. C'est important de terminer l'année sur une note positive

 

Patrick Vieira:

C’est bien qu'on ait trouvé une date, c'était important et les deux clubs avaient envie de jouer. À partir du moment où on a le feu vert, on est satisfaits ... On est tous dans un bon état d'esprit pour jouer les matchs, mais quand on regarde tout ce qu'il se passe en France, les reports peuvent se comprendre et on doit le comprendre. On voudrait tous jouer, mais il y a des choses à prendre en considération, et elles sont plus importantes que le foot actuellement... Ces décisions ont seulement changé notre semaine, on a dû s'adapter et mettre un jour de repos en plus ce jeudi, mais les joueurs étaient contents de ce côté-là, donc c'est bien... 

 

Timothée Kolodziejczak :

Maintenant, il faut qu’on arrive à prendre plus de points à l’extérieur. C’est ce qu’il nous manque pour pouvoir aller plus haut.

 

L'interwiew de Pierre Lees-Melou

Nice Matin

 

 

 

Pierre, ce deuxième report consécutif a perturbé votre semaine d’entraînement?


Oui et non. Le coach avait fait trois tableaux en milieu de semaine: dans le cas où on jouait vendredi, dimanche ou si le match était annulé. Certains joueurs avaient pas mal enchaîné, un peu de repos ne fait jamais de mal. Mais on est content de jouer dimanche parce qu’après dix jours sans jouer, ça commençait à faire long.


Ce Nice - St-Etienne peut être déterminant dans la course au haut de tableau selon vous?


Tous les matchs sont déterminants. Mais c’est vrai que gagner ce match permettrait d’accrocher le fameux bon wagon. On a perdu des points avec nos deux derniers nuls, gagner nous permettrait de bien se positionner. On est sur une bonne série en cours, c’est bien, mais il ne faut pas se reposer là-dessus.


La formation stéphanoise sera amoindrie avec cinq absences majeures (Debuchy, Subotic, Hamouma blessés, Khazri et Cabella suspendus)...

 


Il ne faut pas faire l’erreur de se focaliser là-dessus. C’est nous notre principal adversaire. Il faut se concentrer sur nos forces et améliorer nos faiblesses.


Notamment le manque d’efficacité offensive ?


On bosse devant le but, on travaille nos phases offensives pour amener plus de danger devant la cage adverse. On a également travaillé la construction à partir des phases défensives pour ressortir le ballon proprement. On est dur avec nous-mêmes, on bosse pour progresser. On ne cogite pas, mais on est conscient de nos lacunes.


Mario Balotelli concentre toute l’attention dans ces problèmes offensifs. Comment le sentez-vous?


Mario, on le connaît tous, c’est un compétiteur qui veut marquer des buts. C’est mieux que quelqu’un qui s’en fout. Il bosse plus pour réussir à nous aider, rajouter ce petit plus qui nous manque. Marquer est une tâche qui revient également à des joueurs cadres comme vous au milieu de terrain. Sur chaque match on prend nos responsabilités. On doit servir nos attaquants quand ils sont mieux placés, mais si on est en position de frappe, on ne va pas se gêner. Wylan (Cyprien) l’a fait récemment, ça commence à me manquer pour ma part (sourire). Ça fait longtemps qu’un défenseur n’a pas marqué non plus sur coup de pied arrêté. Tout but est bon à prendre.

 

leesmelou18


Nice n’a obtenu aucun penalty en 16 journées. Pourquoi ?


Peut-être que la VAR ne nous aime pas (rires). Je pense que les défenseurs lisent bien nos intentions de jeu, et peut-être qu’on ne prend pas assez de risques dans la surface non plus.


Pourtant, il y a des joueurs techniques capables de provoquer dans la surface, comme Allan (Saint-Maximin) ou Youcef (Atal)...

 

Non, Youcef, il veut tomber tout le temps dès qu’il rentre dans la surface (rires). Mais c’est vrai, on ne provoque peut-être pas assez dans la surface. Pourquoi pas obtenir le premier penalty dimanche? (sourire)

 

Face à Angers, le coach vous a utilisé plus bas qu’à l’accoutumée.

 

Il voulait que je sois à la construction du jeu, que je sois le premier relanceur à casser les lignes. Ça ne m’empêche pas d’être aux abords de la surface adverse, j’aime bien courir et être box-to-box. Même si je le découvre un peu, j’aime bien ce poste. Le coach le connaît particulièrement bien, il me dit ce qu’il veut voir.

 

Collectivement, vous estimez avoir progressé au niveau tactique?

 

Ça se voit par rapport au début de saison, on est mieux tactiquement. On bosse à la vidéo, le coach travaille sur des cas particuliers, des zones spécifiques, il prend le temps. C’est clair et précis et ça se voit sur le terrain.

 

Nice-Lille, c’est le match référence pour vous?

 

On a été solide, efficace, on n’a pas concédé d’occasions, ça fait partie des matchs référence, oui. Quand je pense au match de Guingamp, c’était très moyen. Contre Angers on doit tuer le match d’entrée. On doit amener plus de folie devant.

 

 


 

Revue de presse

 

Mister Vieira et le mystère Balotelli

JDD

 

Les deux hommes sont assis sur les marches du centre d’entraînement de l’OGC Nice. Patrick Vieira, qui vient de recadrer trois joueurs (Allan Saint-Maximin qui souhaite aller à un baptême, Malang Sarr qui joue trop facile et Adrien Tameze qui aurait des touches ailleurs), demande à Mario Balotelli pourquoi il est fâché. L’Italien n’élude pas : il se plaint que ses coéquipiers n’arrivent pas à aligner deux passes lors d’un exercice et, surtout, qu’ils s’en fichent. Il regrette l’exigence des grands clubs qu’il a connus. D’une voix douce, avec beaucoup de psychologie, son entraîneur lui explique qu’il doit montrer l’exemple. Or, il n’est pas exempt de tout reproche puisqu’il arrive comme tout le monde deux minutes avant l’entraînement. Vieira lui rappelle qu’il a la chance de faire un travail merveilleux et cela arrache un sourire au mutique attaquant de 28 ans, qui admet qu’on ne devrait même pas appeler ça un travail.


Cette scène, qui se déroule fin août avant un déplacement victorieux à Lyon (0-1), alors que Nice est dans le dur (deux défaites, un nul), donne le ton d’une relation captée de près par les caméras d’Intérieur Sport*. Antoine Le Roy et Nicolas Picquet ont suivi les premiers mois de l’ancien coach de New York City sur le banc niçois. À 42 ans, dont vingt-trois à l’étranger, l’ancien élève d’Arsène Wenger (à Arsenal) et de José Mourinho (à l’Inter Milan) semble très à l’aise dans son nouveau costume. Mais la gestion de Mario Balotelli, initialement en partance pour l’OM, devient au fur et à mesure le fil conducteur de cette plongée rare dans le quotidien d’un entraîneur de Ligue 1. C’est que l’Italien est hors de forme, joue mal, ne marque jamais (une passe décisive en dix matches). Vieira ne le lâche pas, alterne méthode douce et sans gants. Son vécu de grand joueur pèse, mais ne l’immunise pas.


Il renverse le tableau dans le vestiaire à Nîmes


La colère de « Super » Mario devient difficile à canaliser. Sans filtre, l’Italien confie en interview que le système mis en place ne lui convient pas et sa frustration d’être systématiquement remplacé. En face, Vieira ne manque pas de charisme, de patience et de repartie (« Tu dois travailler, mon ami, [...] ça fait trois mois que tu es libre », dit-il alors qu’il lui réclame une journée libre). Gérer ces états d’âme est épuisant, il doit préserver son groupe. À Nîmes (0-1), il sort son attaquant à un quart d’heure de la fin car celui-ci a été averti. Il n’a « pas confiance ». Furieux, Balotelli file aux vestiaires où il renverse le tableau à aimants fétiche de son entraîneur . Refuse de ramasser. À Guingamp (0-0), l’ancien Milanais quitte le débriefing pour aller aux toilettes. Un « manque de respect » que Vieira admet prendre très mal sur le coup.


Depuis, Mario Balotelli a traîné son spleen à Angers (0-0). «Touché au genou lors de l’ultime séance d’entraînement», comme l’a indiqué hier le club niçois, il est forfait contre Saint-Étienne cet après-midi

 

  Ce sera sans Balotelli

L'Equipe

 

Alors qu’ils ont du mal à marquer, les Niçois devront se passer aujourd'hui de leur attaquant, touché à un genou.
Il est difficile de penser que c’est un vrai coup dur au regard des derniers matches de l’attaquant, mais les Niçois sont déjà assez inefficaces pour ne pas regretter le forfait de Mario Balotelli, touché à un genou lors de la mise en place, hier matin. En pleine crise de confiance, l’Italien (0 but) n’inspirait pas une grosse inquiétude hier soir et il devrait passer des examens demain pour déterminer plus précisément sa blessure. Comme Maolida fréquente aussi l’infirmerie, Patrick Vieira devrait faire confiance à Ganago pour accompagner Saint-Maximin à la pointe du 5-3-2, plus solide que séduisant. Walter Benitez n’a pas été trompé depuis six journées, et les exploits du gardien argentin permettent aux Niçois de rester invaincus malgré leurs défauts. Ils ont l’occasion de dépasser Saint-Étienne aujourd’hui, et voulaient absolument disputer ce match qui aurait dû se jouer vendredi. Le planning de la semaine a été adapté en fonction de l’incertitude liée au report, et la décision finale plaît aux Azuréens, privés du derby contre Monaco vendredi dernier. « C’est sûr que ça commençait à faire long, souffle le milieu Pierre Lees-Melou. Il ne faut pas oublier notre série en cours, c’est bien mais il ne faut pas s’endormir sur ça. J’espère que Walter passera Noël sans but. Il faudra ramener cette victoire chez nous. » Plus à l’aise en déplacement qu’à domicile, les Niçois en ont peu l’habitude mais c’est le bon moment pour s’y mettre, car ils resteront à l’Allianz Riviera mercredi pour affronter Guingamp en huitièmes de finale de la Coupe de la Ligue.

 

 

« On vise le retour à la normale »
L'Équipe
 

Didier Quillot, le directeur général de la Ligue, espère déplorer seulement trois reports de matches ce week-end, contre six la semaine dernière.

 

À l'aube de la dix-huitième journée de Ligue 1, les mauvais souvenirs, à peine vieux d’une semaine, ont refait surface. En raison de la mobilisation toujours effective des gilets jaunes, la Ligue a en effet déjà acté le report de trois rencontres. Nantes-Montpellier ne se jouera pas ce week-end. Caen-Toulouse non plus. Tandis que Nice-Saint-Étienne, initialement prévu demain soir, pourrait éventuellement se disputer dimanche à 17 heures. Le match entre l’OM et Bordeaux est lui aussi menacé, puisque le préfet des Bouchesdu-Rhône a demandé officiellement hier après-midi à la LFP le report « pour des raisons de répartition des forces de l'ordre, mobilisées sur de nombreux fronts sociaux ». Hier soir, rien n’était acté pour ce match au Stade Vélodrome. Des discussions sont en cours entre les dirigeants de la Ligue, plutôt partisans du maintien de cette affiche du Championnat, et les représentants locaux de l’État. Dijon-PSG, un temps sur la sellette, est maintenu. Mais le déplacement des supporters parisiens a été interdit par la préfecture de la Côte-d’Or afin de « prévenir tout trouble à l'ordre public».


Pour Nantes-Montpellier, programmé à la Beaujoire , c’est la préfecture de la Loire-Atlantique qui a jeté l’éponge. « Le préfet n’a pas assez de forces de police pour assurer la sécurité samedi en raison des nouvelles manifestations de gilets jaunes, constate Didier Quillot, directeur général exécutif de la Ligue. On lui a proposé de jouer dimanche ou vendredi. Mais il n’a pas voulu car il y a plusieurs manifestations prévues dans la ville. Il n’y a pas d’autre solution que de décaler en janvier. Pour Nice-Saint-Étienne, les raisons du report sont également l’insuffisance des forces de police. On discute avec la préfecture des Alpes-Maritimes et le ministère de l’Intérieur pour jouer dimanche à 17 heures. Il faut un accord tripartite. »


Pour l’heure, on en est donc là. Mais la situation est mouvante et de nouveaux reports peuvent encore être envisagés. La Ligue se tient prête, mais elle n’agira que dans un cadre parfaitement défini. « Pour l’instant, la situation est celle-là, constate Didier Quillot, le directeur général exécutif de la LFP. Il n’y a pas d’autre match pour lequel nous aurions reçu de coup de fil, un courrier du préfet ou d’un club concerné. Le process est très simple. On ne bouge pas tant que l’on n'a pas un courrier écrit d’un préfet. Quand on en reçoit un, on croise les informations avec le ministère de l’Intérieur et on décide ensemble, à trois, du report. La semaine dernière, on était plutôt pour ne pas opposer de résistance, il y avait quand même un risque majeur pour l’ordre public. Cette semaine, nous pensons que c’est moins le cas. Quand il y un souci, on essaie de déplacer le match à un autre moment du week-end. Autant la semaine dernière, la ligne était d’appliquer ce que disaient les préfets sans discuter, autant cette fois-ci on vise le retour à la normale. Déjà, le week-end dernier, il y aurait eu un seul match à disputer, on l’aurait joué. Ce n’était pas à nous, Ligue de football, d’ajouter de la peur à la peur en annulant de notre propre initiative toute une journée de Championnat.»


Sans en arriver là, rien n’est simple, encore une fois, pour la LFP, même si, d’un point de vue réglementaire, elle jouit d’une marge de manœuvre puisqu’elle peut, si nécessaire, programmer un match de la 18e journée avant un de la 17e. Mais c’est surtout compliqué pour les clubs concernés. Montpellier, par exemple, cumule déjà deux reports. Et s’inquiète. « C'est ennuyeux sportivement, ça fausse un peu le Championnat, déplore Laurent Nicollin, le président montpelliérain, dont le club doit déjà jouer un match en retard au Parc des Princes face au PSG le 15 janvier (initialement prévu le samedi 8 décembre). C'est comme ça. Il faudra recevoir Lyon (le samedi 22 décembre à 21 heures) avec nos moyens, sans rythme après trois semaines de coupure.»


Michel Der Zakarian, son entraîneur, est encore plus direct : « Je ne comprends pas, c'est nul. Ça nous pénalise complètement au niveau de l'équité. » Der Zakarian étudie d’ailleurs la possibilité d'organiser un match amical afin de garder ses joueurs dans le rythme. « Mais c'est très compliqué, je ne vois pas contre qui on peut jouer car tout le monde est pris ce week-end ». À Nantes, le problème est le même pour Vahid Halilhodzic, le coach des Canaris, qui subit, lui aussi, son deuxième match d'affilée reporté après le déplacement à Nîmes annulé samedi dernier.