Presse
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
C’est Emerse Faé qui a vendu la mèche. Dimanche, après la victoire sur Nantes (2-1) qui étire la série d’invincibilité de Nice à sept matches de L 1 et qui le propulse à la 4e place du classement, il a révélé que les joueurs s’étaient tracé un tableau de marche. « Il y a un mois, on s’est dit entre nous que ce serait bien d’atteindre la trêve en étant qualifiés en Coupe de la Ligue et avec 26 à 30 points en Championnat. » La qualification est dans la poche et le total de points visé sera sans doute atteint puisque le Gym en possède 25 alors qu’il reste cinq matches avant la fin de la phase aller.
- Détails
- Écrit par : Le Progres
Pour connaître un peu Frédéric Antonetti, on a cru deviner un sentiment de satisfaction profond sur son visage à l'issue du match victorieux face à Nantes, dimanche soir (2-1). Il ne l'a pas montré, a juste dit « qu'il pensait à sa mère qui avait 79 ans. » Un aparté sentimental dont cet homme n'est pas coutumier mais qui lui a évité de s'éterniser sur le troisième succès en une semaine de son équipe (Paris et Nantes en championnat, Créteil en coupe de la Ligue).
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
Nice continue à aller de l’avant. La victoire qu’il a remportée hier en fin d’après-midi face à Nantes est la troisième de suite en Championnat, la quatrième toutes compétitions confondues, avec la qualification en Coupe de la Ligue face à Créteil (3-0). Elle laisse le Gym invaincu depuis sept rencontres en L 1 et l’installe un peu plus confortablement dans le premier quart du classement.
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
À Nice, ils sont au moins deux pour qui la venue de Nantes présente un caractère particulier : Emerse Faé, d’abord – formé à la Jonelière, qui jouera pour la première fois de sa vie contre les Canaris – et Frédéric Antonetti. Le premier avoue que ce match sera « très spécial », le second est moins prolixe.
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
Les niçois avaient promis de ne pas prendre ce match de Coupe de la Ligue par-dessus la jambe. Ils ont tenu parole. Deux buts en première mi-temps et un troisième juste après la pause leur ont permis de plier l’affaire sans vaciller et sans puiser dans leurs réserves. « C’est une victoire méritée, estime Frédéric Antonetti. On a abordé le match avec beaucoup de sérieux et à partir de là tout s’est enclenché du mieux possible. On a respecté l’adversaire et on en a été logiquement récompensés. »
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
A première vue, Nice n’a aucune raison de trembler. Cinquièmes de la L 1, les Aiglons restent sur six matches sans défaite et sont invaincus au stade du Ray, alors que Créteil est le dernier représentant du National. « Tout le danger est là, assure Cédric Kanté. Si on se met à croire que ça va être simple, on est fichus. Par contre, si on est sérieux et concentrés, il ne devrait pas y avoir de problème. »
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
En remportant leur troisième succès de la saison à l’extérieur, les Niçois se sont temporairement installés tout en haut du classement de la Ligue 1. Pourtant, au moment d’analyser cette situation toute nouvelle pour eux, ils ont de nouveau choisi de faire profil bas. « C’est intéressant, reconnaît Frédéric Antonetti, mais, pour l’instant, je préfère continuer à regarder derrière. Ce qui compte pour moi, c’est toujours l’écart qui nous sépare du premier relégable. » Cet écart est ce matin de douze points et les Aiglons le doivent en grande partie à une série d’invincibilité qui dure maintenant depuis six rencontres.
- Détails
- Écrit par : l'Equipe
Depuis sa courte défaite à Rennes (0-1), fin septembre, Nice qui n’a plus perdu campe dans la première moitié du classement. Son jeu est de l’avis même de Frédéric Antonetti « en progrès constants depuis quelques semaines », et Cyril Rool parle de la première mi-temps du match contre le PSG la semaine dernière (1-0) comme de la période « la plus accomplie depuis le début du Championnat ».
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
Un engagement physique limité, des passes pas toujours appuyées, aucune imagination, un ballon abandonné à l’adversaire et des bras trop souvent baissés. Ce qu’a vu Paul Le Guen, hier, lors de la première période de Nice-PSG, ne lui a pas plu du tout. À la mi-temps, le vestiaire parisien a résonné des mots virulents de son entraîneur, énervé comme rarement depuis le début de saison. « Je les ai secoués parce qu’on était mous », a reconnu ce dernier, la voix cassée et le moral affecté. Un discours mobilisateur qui a modifié le visage du PSG après la pause, mais pas assez pour lui permettre d’égaliser.
- Détails
- Écrit par : L'Equipe
Avant Paris, Loïc Rémy avait disputé l’intégralité des matches de Championnat de Nice, en débutant dans l’axe. Il avait rarement changé de zone, sauf par exemple en fin de rencontre à Monaco (1-2, 9e j.), quand il s’était décalé sur un côté pour laisser la région à Modeste. Hier, Mouloungui a entamé la rencontre neuf minutesaprès la sortie du meilleur buteur niçois sur blessure et l’a remplacé poste pour poste. Jusque-là, l’attaquant gabonais, arrivé en provenance de Strasbourg à l’intersaison, n’avait joué qu’à gauche.Ça ne le rebute pas, mais il « préfère l’axe ».