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- Écrit par : Sport24.com
Malgré un petit passage à vide en fin d’année, Nice n’a pas à rougir de sa première moitié de saison. Loin de là. En embuscade derrière les pointures du championnat, les Aiglons peuvent plus que jamais rêver d’Europe.
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- Écrit par : L'Equipe
Après une première moitié de saison convaincante qui l’a vu s’installer un moment à la deuxième place du classement en dauphin de Lyon, Nice ne voulait surtout pas terminer l’année sur une mauvaise note. Le Gym tenait à réagir après trois matches contre l’OM, Grenoble et Lille où il n’avait pris qu’un point sur neuf. C’est peut-être ce qui a permis aux Aiglons de trouver les ressources pour égaliser au boutdu temps additionnel grâce à un superbe coup de tête de Vincent Hognon. « C’est un point acquis avec les tripes », explique Habib Bamogo. « Sur ce coup-là, on a démontré qu’on avait de grosses ressources mentales », ajoute Olivier Echouafni.
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- Écrit par : L'Equipe
« Il est temps de se remettre en question, de changer d’état d’esprit et de revenir aux valeurs essentielles, celles qui nous ont permis d’obtenir des résultats. En ce moment, on ne fait pas assez d’efforts, moi le premier. Contre Lille (0-1), je n’ai pas été à la hauteur et ma prestation a été catastrophique. Il faut qu’on retrouve cette détermination collective qui nous caractérisait et faisait la différence. » Cette analyse sans concession émane de David Hellebuyck. Elle prend d’autant plus de poids que l’ancien Stéphanois n’a pas pour habitude de se répandre.
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- Écrit par : L'Equipe
Que demanderait Habib Bamogo à Noël pour compléter sa panoplie ? « Un jeu de tête », répond-il sans hésitation. Il a pourtant marqué du front contre Nantes (2-1). « Mais j’étais seul. Chez moi, on va dire que la tête, c’est juste fait pour réfléchir. » Bamogo, vingt-six ans, est diplômé de l’école montpelliéraine, 143 fois titulaire en L 1 à Montpellier, Marseille , Nantes et Nice (sur 220 matches).
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- Écrit par : L'Equipe
Le regard de David Hellebuyck sur la défaite concédée devant Lille, la première au stade du Ray cette saison, est sans concession : « On n’a pas été à la hauteur, moi le premier. On est passés à travers, on n’a rien fait, ils nous ont bouffés. On n’a pas su se créer ne serait-ce qu’une occasion, ou presque, et si, physiquement, on n’est pas là contre Lille, une équipe qui base tout sur les duels, ce n’est pas la peine, on ne peut rien espérer. C’est dommage de finir l’année à domicile comme ça. On a laissé passer le train. »
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- Écrit par : L'Equipe
Frédéric Antonetti s’est amusé à un petit calcul : « Si on établit le classement de la L 1 depuis trois ans et demi (soit depuis la saison 2005-2006, quand il est arrivé), onse classe sixièmes. Ça donne de la fierté. » Surtout pour un club qui cale toujours ses prévisions budgétaires sur une chiche 17e place. Nice, c’est, quelque part, le meilleur rapport qualité-prix actuel de la L 1 (le plus haut salaire mensuel de joueur équivaut à 80 000 euros).
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- Écrit par : L'Equipe
Loïc Rémy va vraiment commencer à croire qu’il a quelque chose d’un chat noir. Le retour sur les terrains du meilleur buteur niçois (6 buts) s’est accompagné d’une défaite àMarseille samedi dernier (1-2) et d’un nul contre Grenoble, hier soir (0-0). Après quatre succès d’affilée, « un point sur six,c’est un coup d’arrêt, regrette le défenseur niçois Cédric Kanté. Grenoble, c’était du bonus, on n’en a pas profité. » Le treizième de la L 1 a laissé Nice pieds et poings liés sur une pelouse à la limite du praticable.
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- Écrit par : L'Equipe
C’est une série de huit matches sans défaite et surtout de quatre victoires d’affilée qui s’est éteinte à Marseille, samedi soir (1-2), pour les Niçois. Les joueurs de Frédéric Antonetti se sont inclinés sur deux coups de pied arrêtés, le dernier but concédé dans le jeu remontant ma intenant au 29 octobre (1-1 à Caen, 11e journée).
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- Écrit par : AFP
L'OGC Nice, qui jongle entre ambition et humilité, a l'occasion, en cas de succès sur Grenoble mercredi (18h30) en match en retard de la 16e journée de revenir à la hauteur de Marseille, sur le podium de la Ligue 1.
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- Écrit par : L'Equipe
Les niçois sont tombés hier pour la première fois depuis une défaite à Rennes (0-1), le 29 septembre. Mais autant ce jour-là Frédéric Antonetti n’avait pas apprécié la performance de ses joueurs, autant hier l’entraîneur niçois n’a rien voulu reprocher à son équipe. « On a sans doute été trop timides en première période et ça nous a coûté cher. On s’est retrouvé menés 0-2 sans que l’OM nous ait jamais poussé dans nos retranchements et sans être mis hors deposition.Ona pris deux buts bizarres. J’aurais préféré qu’on soit menés sur des actions bien construites. »