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- Écrit par : Sports.fr
Privé de titre depuis 1997 et une Coupe de France soulevée aux dépens de Guingamp, l'OGC Nice peut se qualifier mercredi pour sa deuxième finale de Coupe de la Ligue en trois ans. A condition de venir à bout du Vannes OC, l'invité surprise du dernier carré de la compétition. Face au club breton, promu en L2 il y a quelques mois à peine, l'occasion semble belle pour les Aiglons. Même si la pression sera sans conteste dans leur camp.
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- Écrit par : Le Télégramme
Finaliste de la Coupe de la Ligue avec Metz en 1999, Lionel Letizi rêve, dix ans plus tard, de retrouver le Stade de France, cette fois avec l'OGC Nice, le club de ses débuts. Et de gagner ce trophée, histoire de boucler la boucle en beauté.
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- Écrit par : L'Equipe
Au lendemain de l’élimination en Coupe de France à Monaco (0-1) il y a une semaine, Frédéric Antonetti avait réclamé une « forte réaction » de ses hommes. Et, pour tout dire, après la très timide prestation de ses joueurs hier soir, l’entraîneur niçois l’attend encore.
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- Écrit par : L'Equipe
Frédéric Antonetti a tonitrué contre la suffisance de ses joueurs en Principauté dimanche soir dernier (0-1, 16es de finale de la Coupe de France). Donc, semaine de rappel à l’ordre, demobilisation générale et de gammes. « Passer à travers, ça arrive quatre ou cinq fois par an à n’importe quelle équipe au monde, relevait l’entraîneur niçois avant-hier. Si ça devait arriver, il valait mieux que ce soit en Coupe de France.
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- Écrit par : La voix des sports
Loïc Rémy, qui avait séduit à Lens la saison dernière, a confirmé à Nice l'étendue de son talent. Lyon ne l'a-t-il pas laissé filer trop vite ?
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- Écrit par : L'equipe
Ce soir s'annonce la 97e rencontre entre Monaco et Nice, autrefois surnommée le « derby du soleil » ou le « derby en bleu » (D 1, D 2, Coupe de l’AS Monaco (1924). Le premier vrai derby entre l’AS Monaco et l’OGC Nice remonte donc au 8 novembre 1953 au stade Louis-II, en D 1. Dans une ambiance de kermesse et sous un ciel lapis-lazuli, les Aiglons, avec Just Fontaine dans leurs rangs, s’imposent 3-0.
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- Écrit par : L'Equipe
Dans quelques semaines Loïc Rémy devrait arborer une magnifique montre de marque à son poignet gauche. Quand il a signé au Gym l’été dernier, Roger Ricort, le directeur sportif niçois, lui a promis de lui offrir la sienne s’il marquait au moins 10 buts en Championnat. L’ancien Lyonnais, malgré deux mois d’absence dus à deux blessures à la cheville droite puis au genou droit, en compte déjà sept à son actif.
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- Écrit par : L'equipe
« Il ne nous reste plus q'une solution, continuer à y croire. » C’est avec une bonne dose d’humour suisse que Stéphane Grichting a commenté hier soir la défaite concédée par Auxerre à Nice, la onzième déjà cette saison, qui intervient en plein coeur d’une série horrible. Depuis qu’ils ont battu Sochaux mi-novembre, les hommes de Jean Fernandez ont accumulé les contre-performances. En sept rencontres ils n’ont pris qu’un petit point. Ils ont glissé de la 10e place jusqu’à la limite de la zone rouge. Hier ils ont été rejoints par Saint-Étienne et si Sochaux s’impose cet après-midi au Parc, ils seront sur lamêmeligne que le premier relégable.
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- Écrit par : L'Equipe
NICE peut continuer à y croire. Sa volonté de retrouver le Stade de France, trois ans après la finale de Coupe de la Ligue perdue face à Nancy (1-2), est toujours en passe de se réaliser. Les Aiglons ont franchi un obstacle supplémentaire en se débarrassant hier du Havre et en se qualifiant pour les demi-finales de l’épreuve, programmées début février. Présenté comme ça, il n’y a rien de surprenant. Les Azuréens forment l’une des bonnes équipes de L 1 et ils recevaient la lanterne rouge du Championnat. La logique a donc été parfaitement respectée.
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- Écrit par : L'equipe
Le traumatisme n’existe plus mais il a été long à se dissiper. Battus (1-2) par Nancy en finale de la Coupe de la Ligue 2006, les Niçois ont eu beaucoup de mal à s’en remettre. Frédéric Antonetti, Cyril Rool et Olivier Echouafni, les seuls à être toujours au club, s’en souviennent encore. « D’habitude, raconte l’entraîneur, une défaite me prend la tête vingt-quatre heures. En général, le lendemain ça repart. Là, il m’a fallu près de deux semaines pour m’en remettre. Ça reste un de mes pires souvenirs d’entraîneur. » Echouafni a vécu la défaite de la même façon. « À trente trois ans, c’était ma première finale. Ce fut une frustration totale. »