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Les 6 dernières confrontations

 

23.05.21 Lyon - Nice 2 - 3 Ligue 1

19.12.20 Nice - Lyon 1 - 4 Ligue 1

02.02.20 Nice - Lyon 2 - 1 Ligue 1

30.01.20 Nice - Lyon 1 - 2 Coupe de France

23.11.19 Lyon - Nice 2 - 1 Ligue 1

10.02.19 Nice - Lyon 1 - 0 Ligue 1

31.08.18 Lyon - Nice 0 - 1 Ligue 1

19.05.18 Lyon - Nice 3 - 2 Ligue 1

26.11.17 Nice - Lyon 0 - 5 Ligue 1

20.05.17 Lyon - Nice 3 - 3 Ligue 1



 

 

Les news

 
 
 
 
 

22/10

Melvin Bard est rétabli. Absent depuis trois semaines en raison d'une blessure à une cheville, le latéral gauche international Espoirs est de nouveau opérationnel avec Nice pour la réception de l'OL, son club formateur.

 

 21/10

L'OL et Paqueta font tomber Sparta Prague (3-4)

 

19/10

Jérôme Brisard arbitrera la rencontre assisté par Alexis Auger et Erwan Finjean.

 

 

 

 
 
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Les interviews
 
 
 
 

A venir

 


 

 


 

 

Les déclarations d'avant-match 

 

 

Christophe Galtier :
 
Y’aura du changement dimanche. Parce que les joueurs ont failli. Je ne pense pas a l’enchainement des matchs. Mes choix se feront par rapport à ce que je vois. Bard est dispo pour être titulaire... La semaine n'a pas été agréable pour les joueurs. Il y avait beaucoup de choses à corriger. On doit avoir beaucoup plus d'humilité sur ce que l'on est. Notre championnat c'est Lorient et Troyes. Contre ces équipes, on doit au moins être capable de ne pas perdre. Là, on a été nul ! ... On doit avoir beaucoup plus d’humilité sur ce que l’on est. Notre championnat c’est Lorient et Troyes. Ça fait 16 semaines qu’on travaille ensemble et je pensais que le message était passé. Mais non!
Je ne sais pas si c’est la trêve ou si c’est le fait de se dire : « Tiens, on va à Lorient, on va à Troyes ». C’est différent de Marseille, Paris, Lyon, Monaco ou d’autres. Si les joueurs se disent ambitieux, si cette équipe se dit ambitieuse, on doit avoir un autre visage, un investissement total, quel que soit l’adversaire, quel que soit l’horaire.
 
 
Jean Clair Todibo :
 
On doit murir par rapport a ces matchs. La saison passée on a perdu 6 pts contre Dijon. Là on ne peut pas perdre 3 pts a Troyes avec nos objectif. Lyon ou pas Lyon on doit réagir dimanche. Je peux vous dire que la remise en question a eu lieu. On a pris cher avec le coach. On a revu les images. On ne peut s’en prendre qu’à nous!

 

 

Revue de presse

 

 

NICE-LYON, RÉSEAU PARTICULIER
L'Équipe

 

Avec des Aiglons recrutés à l’OL et deux directeurs du football très proches, les deux clubs semblent nourrir une relation privilégiée, récemment épicée par une concurrence nouvelle.

 

Ils se sont rencontrés au cœur des années 1990 autour d’une partie de « contrée », variante de la belote basée sur un système d’enchères, et personne autour de la table n’imaginait alors que Julien Fournier et Vincent Ponsot, deux étudiants toulonnais, se livreraient vingt-cinq ans plus tard à des enchères grandeur nature au sommet du football français. Les directeurs du football de l’OGC Nice et de l’Olympique Lyonnais sont amis, cela n’est un secret pour personne, ils ont suivi ensemble après la fac le même cursus à Limoges et Ponsot est aujourd’hui le parrain du fils de Fournier, alors autant dire que le choc de cet après-midi en Ligue 1 sera un peu leur derby.

 

Les Azuréens s’avanceront avec deux joueurs formés à l’OL sur la pelouse au coup d’envoi, Amine Gouiri et Melvin Bard, recrutés ces deux derniers étés par Fournier. « Ce sont deux très bons amis à moi mais sur le terrain ce seront des adversaires, explique Maxence Caqueret, le rescapé de cette génération 2000, titulaire à Lyon. Ils font une très belle saison, on se parle régulièrement. » Les bonnes performances des deux anciens Gones ne passent pas inaperçues dans le Rhône, elles font dire à Peter Bosz que « ça veut dire quelque chose de fort sur notre académie » mais elles frustrent certains supporters, aussi.

 

« Les gens ont du mal à comprendre quand un Melvin Bard s’en va, ce que je peux concevoir, répond Ponsot. On est un club formateur, on investit beaucoup dans l’académie, mais on a aussi des objectifs de performance élevés, avec qualification en Ligue des champions chaque saison. Au Parc des Princes (1-2, le 19 septembre), on avait sept joueurs formés au club sur la pelouse pour finir le match. Mais il faut aussi que les joueurs jouent. Lorsque l’un d’entre eux monte dans le groupe pro, y passe un certain temps et ne parvient pas à obtenir plus de temps de jeu, on se retrouve confrontés à la situation où le joueur veut partir afin d’avoir plus de perspectives. Ce n’est pas le club qui décide tout seul de vendre les joueurs.

 

Et souvent, lorsque la situation se présente, les dirigeants niçois sont les premiers à attendre derrière la porte avec le bon projet et la bonne offre. La passerelle avait déjà été empruntée par Loïc Rémy (2008) et Anthony Mounier (2009), deux très bons attaquants de la génération 1987 barrés par Karim Benzema et Hatem Ben Arfa, tandis qu’Hugo Lloris et Ederson avaient été achetés par l’OL à l’époque, et le tandem Fournier-Ponsot n’était pas encore aux commandes. D’autres Gones sont ensuite arrivés sur la Côte-d’Azur comme Alassane Plea (2014) ou Myziane Maolida (2018).

 

« On a pas mal recruté à Lyon du fait de leur capacité quasi unique en France à former de très bons joueurs, détaille Fournier. Nous, nous nous sommes lancés dans ce processus depuis quelques années, mais nous n’avons pas été en capacité de former des joueurs comme le fait l’OL. Quand on a pris Plea, ils formaient tellement de joueurs offensifs de qualité (Lacazette, Fekir, Ghezzal, Martial…) qu’ils n’avaient pas la place pour les développer. On est arrivés et on a profité de ça. »

 

Il y a le désir de joueurs souhaitant enchaîner les matches, aussi. « Amine (Gouiri), on ne voulait pas le transférer, on voulait le prêter, révèle Ponsot. Mais il n’a pas voulu. À partir de là, il nous oriente sur un club, et si le club fait une offre satisfaisante, on vend. Pour lui (7 M€), pour Maolida (10 M€), on n’a pas eu d’offres meilleures que celle de Nice. Et pour Bard, on a eu quatre offres, mais celle de Nice était de loin la plus importante (3 M€). Donc c’est vrai qu’il y a une répétition avec Nice, mais c’est parce qu’ils font les meilleures offres et que les joueurs veulent aller là-bas. Car si Bard était resté à Lyon, on se serait quand même fait prêter Emerson.

 

Les Aiglons s’en retrouvent tout de même renforcés, après un été où les deux clubs se sont livrés un duel à distance pour convaincre Christophe Galtier. Si l’OL est finalement très heureux d’avoir pu engager Peter Bosz, il ressort de ses derniers mois l’impression que Nice, désormais, joue dans la même cour. De là à couper les ponts sur le marché ? « Les ambitions qu’ils affichent font qu’on sera désormais plus regardants sur des situations de ce type-là, reconnaît Ponsot. En tout cas plus regardants que ce qu’on a pu être par le passé. » Et alors que quelques dents ont grincé à Nice lorsque Jean-Michel Aulas s’est récemment réjoui du point enlevé à Nice, ce qui sous-entend que la relation bascule vers la rivalité, Fournier, de son côté, promet que ses liens avec Ponsot n’ont jamais facilité son travail. « On a passé un deal moral entre nous, qui est que rien n’entachera notre amitié, dévoile le dirigeant niçois. Mais sur le plan professionnel, il n’y a aucun passe-droit, ni de son côté, ni du mien. Il y a zéro cadeau. Quand on a acheté Maolida 10 M€, je n’ai pas l’impression que Lyon nous ait fait un cadeau. Il n’y a pas de coup bas entre nous, pas de mensonge, mais le bluff est autorisé, comme dans toute négociation. » Comme à la belote, aussi