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Les stats

 

Victoire(s) OGC Nice : 23 - Nul(s) : 8 - Victoire(s) Toulouse FC : 9 

 

 

 

Les 10 derniers OGC Nice - Toulouse FC

 

15/03/2019 Ligue 1 OGC Nice 1 - 1 Toulouse FC


03/02/2018 Ligue 1 OGC Nice 0 - 1 Toulouse FC


04/12/2016 Ligue 1 OGC Nice 3 - 0 Toulouse FC


03/02/2016 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 Toulouse FC


09/08/2014 Ligue 1 OGC Nice 3 - 2 Toulouse FC


01/03/2014 Ligue 1 OGC Nice 0 - 2 Toulouse FC


18/11/2012 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 Toulouse FC


20/08/2011 Ligue 1 OGC Nice 1 - 1 Toulouse FC


07/11/2010 Ligue 1 OGC Nice 2 - 0 Toulouse FC


22/11/2009 Ligue 1 OGC Nice 1 - 0 Toulouse FC

 

 

 

 

Les news

  
 
21/12
 
Les èquipes selon
 
Nice Matin
 
 
L'Equipe
 
 
 
19/12
 
Dolbert s'est blessé au pied lors d'un entrainement (métatarse), Ganago souffre d'une lesion au mollet.
 
 
18/12
 
Stéphanie FRAPPART arbitrera la rencontre, assisté par Yannick BOUTRY et de Mikaël BERCHEBRU.
 
Olivier Sadran, président du TFC, propose aux abonnés un remboursement  de 50% sur les abonnements pris, compte tenu des résultats.
 
 
 
 
L'interview

 

A venir

Les déclarations d'avant-match 

 

Dante:

Ce sont les matchs les plus difficiles face à un adversaire qui reste sur une série négative. Elle va bien s'arrêter à un moment donné. Il faudra beaucoup de concentration, respecter l'adversaire, qui a de l'expérience. Si on commence à penser que le match sera facile, je suis sûr qu'on ne prendra pas les trois points... Ce serait un bon signal. Même si les saisons ne sont pas les mêmes, on veut toujours mieux faire. Si on fait la même première partie que l’an dernier, on pourra se mettre l'objectif de faire mieux sur la prochaine phase retour. C’est un bon challenge.

 

 

Revue de presse  

Nice voit loin avec Vieira

l'Equipe

En froid l’été dernier, les dirigeants azuréens et l’entraîneur se sont rapprochés. Ils se projettent avec lui au-delà de cette saison.

Riche de promesses, le rachat de l’OGC Nice par Ineos, l’entreprise pétrochimique du milliardaire Jim Ratcliffe, a d’emblée été obscurci par une incertitude majeure : comment allait cohabiter l’entraîneur Patrick Vieira avec ses dirigeants ? Partis du club en janvier parce qu’ils étaient en désaccord avec les anciens actionnaires sino-américains, le président Jean-Pierre Rivère et son directeur général Julien Fournier avaient provoqué la colère du champion du monde 1998, laissé seul à la barre d’un projet à la dérive. Ils sont revenus à la fin du mois d’août avec de grandes ambitions portées par Ratcliffe qui leur voue une totale confiance, et personne n’ignore que ce retour n’a pas enchanté Vieira, loin de là.

Promu directeur du football du Gym, Fournier savait bien qu’il fallait panser les blessures et il a érigé en priorité la reconstruction de sa relation avec le technicien. Une réunion a eu lieu très vite pour mettre à plat tous les sujets de crispation, et un dialogue quotidien a repris depuis. « Depuis que je suis revenu, il n’y a pas un jour où on n’échange pas, nous soufflait-il en septembre. Il n’y a pas de place pour les états d’âme des uns et des autres, et je m’inclus dedans. Le seul critère de jugement, c’est la compétence, et Patrick est l’entraîneur qu’il faut au club. » Vieira a été associé au mercato d’été qui a dû être bouclé dans la précipitation à cause de la finalisation tardive de la vente du club, mais les résultats n’ont pas pu conforter sa position.

Quatorzième de L1 et piteusement éliminé par Le Mans (L2) en seizièmes de finale de Coupe de la Ligue (2-3, le 30 octobre), le Gym n’a pas traversé une phase aller idyllique et les malheurs des Gunners ont indirectement relancé les questions sur l’avenir de Vieira. Arsenal, c’est son club, celui où il a régné dans l’entrejeu de 1996 à 2005, et le licenciement d’Unai Emery, le 29 novembre, a rapidement été suivi de rumeurs. Et si Vieira, peu en réussite à Nice, filait en Angleterre ?

Deux jours après une déroute à Saint-Étienne (1-4, le 4 décembre), la question lui était posée en conférence de presse. « Je n’ai pas à répondre. Je suis concentré à 100 % sur ce que j’ai à faire ici. Je n’ai pas envie de me disperser sur quoi que ce soit, assurait-il. Je communique énormément avec Julien, avec le président, avec M. Ratcliffe. J’ai leur soutien, on échange, et l’objectif pour nous est de trouver des solutions. Je n’ai jamais ressenti le moindre doute sur leur état d’esprit par rapport à mon travail. Et ça, c’est rassurant. »

Cette mise au point n’avait pas vraiment dissipé le flou et la signature, hier, de Mikel Arteta sur le banc d’Arsenal laissait intactes les interrogations sur le futur de Vieira, sous contrat jusqu’en 2021 avec le Gym. Contacté hier soir, Julien Fournier a donc voulu être très clair. « On se projette évidemment avec lui, et Patrick restera à l’OGC Nice la saison prochaine, nous a-t-il confié. La relation de confiance a été reconstruite. On est super heureux, il est super heureux, tous les ingrédients sont réunis. »

Il faut désormais qu’ils le soient sur le terrain, où les Niçois se cherchent encore. Ils reçoivent ce soir Toulouse et devront très probablement se passer de leur attaquant Kasper Dolberg, retenu dans un groupe de vingt-et-un joueurs alors qu’il est touché à un pied. Une victoire éclaircirait le bilan à la trêve mais l’incertitude sur le banc est au moins levée.

Nice, une défense déplumée

France Football

D’une saison à l’autre, les Aiglons sont passés d’une des meilleures défenses de L1 à l’une des pires ! FF a décortiqué les raisons de cette déliquescence.


Sarr En football, un plus un ne font pas forcément deux. La saison dernière, Nice a fini avec la deuxième meilleure défense de Ligue 1 derrière Lille, à égalité avec le Paris-SG (35 buts encaissés) mais ses carences offensives (Alassane Pléa parti, Mario Balotelli absent) ne lui avaient pas permis d’accrocher l’Europe. Le rachat par Ineos et l’aisance financière qu’il autorise ont laissé penser que le Gym rétablirait l’équilibre. Le mercato tardif et court a néanmoins permis de recruter Dolberg, Claude-Maurice et Ounas, trois joueurs offensifs dans une logique de 1+1 où l’attaque revigorée allait compléter une défense préservée. Mais Nice a perdu cette solidité qui était son atout premier et compte déjà presque autant de buts encaissés (27) que toute la saison passée, à peine mieux que les derniers de la classe Toulouse, Amiens ou Nîmes. Ce secteur n’a pourtant pas été bouleversé : Jallet a rejoint Amiens, Boscagli et Perraud (prêtés chacun en L2 ces dernières saisons) sont partis, mais ils n’étaient pas ou plus des joueurs clés pour Patrick Vieira. Seul le parisien Nsoki a rejoint la Côte d’Azur. Alors, comment expliquer que tout se soit déréglé, au point que Nice n’a pas encaissé de but à deux reprises seulement (contre Reims, 2-0, le 3 novembre, 12e journée et à Brest, 0-0, le week-end dernier, 18e journée) quand Walter Benitez avait aligné seize clean sheets la saison dernière ?


« TROP DE TURNOVER »


Pour Cédric Kanté, ancien défenseur du club, l’explication principale vient du manque de stabilité. En dix-huit journées, Vieira a été contraint de titulariser quinze lignes défensives différentes. « Cela résume tout. Il y a eu trop de turnover en raison des blessures, des suspensions. On ne peut pas construire une assise défensive dans ces conditions. Et c’est d’autant plus préjudiciable que Nice est une équipe qui tient le ballon, qui a fait de la possession un principe. Or, ça marche à condition que derrière, ça assure et ça rassure. » José Cobos, ex-capitaine des Aiglons, ajoute que le rachat tardif du club par Ineos a son importance. « La priorité était de recruter offensivement, et ç’a été fait. Les dirigeants n’ont sans doute pas eu le temps de mener tout de front. La défense avait été épargnée par les pépins la saison dernière, pas cette saison, et Vieira doit composer avec, lancer des jeunes ou des joueurs en manque de confiance ou de rythme car il n’a pas le choix. » Atal, blessé, a manqué le début de saison, est revenu mais vient à nouveau de se blesser gravement contre Metz et va manquer plusieurs mois. L’international algérien était régulièrement utilisé dans un rôle plus offensif, laissant le poste de latéral droit à Burner, bien seul désormais. À gauche, Vieira bricole depuis le début de saison entre Coly, aux performances insuffisantes, Nsoki, un peu perdu depuis son arrivée, et Sarr, trimbalé de l’axe à gauche. « Mais Nice n’est pas le seul club à connaître ces difficultés à gauche, considère Kanté. L’OM, l’OL ont vécu ça, c’est un poste compliqué en L1. Quand il s’agit du seul souci, c’est surmontable, mais le plus pénalisant pour Nice est l’instabilité de sa charnière. Avec le gardien, ce doit être un axe fort. Heureusement que Benitez en est un. »

DANTE DOIT ÊTRE (MIEUX) ENTOURÉ


La charnière niçoise, c’est, a priori, Hérelle-Dante, mais les deux, blessés, ont manqué plusieurs semaines en septembre, et Hérelle s’est à nouveau blessé à Lyon (14e journée), obligeant Vieira à composer autrement. « Pourtant, le début de saison de Christophe Hérelle a montré qu’il avait franchi un cap », considère Cobos. Et le turnover aux côtés de Dante n’aide pas ce dernier. « C’est le patron et il est incontournable dans l’organisation défensive et la relance, estime Kanté. Mais, à trente-six ans, il n’est évidemment plus aussi rapide. Il ne peut pas être partout, il a besoin d’être bien entouré pour compenser ce manque de vitesse. » L’instabilité n’aide pas le bloc comme elle n’aide pas à titre individuel. « Un joueur comme Malang Sarr paye de ne pas se fixer à son poste naturel en défense centrale, estime Kanté. À cet âge, il faut jouer pour progresser et gommer peu à peu les lacunes. Quand, d’une semaine à l’autre, vous vous entraînez dans l’optique de jouer dans l’axe, puis la semaine suivante, d’être déplacé à gauche, c’est compliqué. À ce poste, il faut de la stabilité sur la durée. » Cette instabilité provoque une certaine fébrilité, surtout au sein d’un effectif très jeune. Nice a déjà récolté cinq cartons rouges, autant que sur l’ensemble de la saison dernière, et a commis deux erreurs individuelles ayant directement amené un but (contre une seule la saison dernière). Et le manque de sérénité est encore accentué par le fait que l’équipe bloque moins haut que la saison dernière. « Le ballon revient plus vite, constate Kanté. Vieira ne change pas de philosophie, il y a toujours la volonté de produire du jeu, de prendre des risques à la relance, mais, comme ils tiennent un peu moins le ballon, ils s’exposent plus vite. »


VIEIRA S’ENTÊTE-T-IL TROP ?


À l’arrivée, le Gym subit en moyenne 5,1 tirs cadrés par match, un de plus que la saison dernière. José Cobos pousse plus loin l’analyse. « Tout change si vous ouvrez le score rapidement, on l’a vu contre Metz (4-1, le 7 décembre, la 17 e journée). Car Nice dispose d’un beau potentiel offensif, mais il faut logiquement un peu de temps pour que les recrues s’adaptent et apportent ce qu’on attend d’elles. Ça commence à venir avec Kasper Dolberg, Adam Ounas va être de mieux en mieux, et Wylan Cyprien, qui joue un rôle important au milieu, revient à son meilleur niveau. C’est essentiel pour l’équilibre général. » Demeure une question : Patrick Vieira est-il coupable de s’entêter dans son chemin de jeu ? Il a essayé une défense à cinq (en cours de match contre le Paris-SG, puis à Strasbourg, deux revers 1-4 et 0-1) sans insister. Il manque surtout d’options et doit aligner des joueurs en manque de confiance (Nsoki, Coly, Sarr). Il n’était pas chaud pour un retour de Dalbert – prêté par l’Inter à la Fiorentina –, mais le club a annoncé la semaine dernière, rapidement après la claque reçue à Saint-Étienne (4-1), l’arrivée sous forme de prêt du latéral gauche international danois Riza Durmisi à partir de janvier, une façon de calmer les impatiences des supporters niçois. « Le rachat du club a déclenché de gros espoirs, reconnaît Cobos. Mais le club ne fait pas n’importe quoi et ne se précipite pas. Les blessés vont revenir, et, s’il faut rectifier un peu le tir cet hiver, notamment avec la blessure d’Atal, faute d’avoir eu le temps de le faire cet été, le club le fera sans doute en fonction des opportunités car il en a les moyens. Mais il n’y a pas de raison de paniquer. Nice n’a subi que deux gros revers (face à Paris et Saint-Étienne, avec quatre buts encaissés). L’équilibre n’est jamais très loin, même si on attend toujours plus vue l’ambition affichée par les nouveaux propriétaires... »