Énonçons d’emblée le postulat : Nice est un club vendeur. C’est sa raison d’être économique et il n’y a pas de raison d’en changer. Allan Saint-Maximin en est l’un des plus beaux actifs, jeune – vingt et un ans –, expérimenté – sixième saison en L1, déjà –, et spectaculaire. Surtout, l’attaquant sera en fin de contrat en juin 2020. Les dirigeants du Gym n’ont donc pas beaucoup d’autres choix que de s’en séparer dès l’été prochain. D’autant que les courtisans ne manquent pas, que ce soit en Angleterre où des clubs de seconde partie de tableau disposent d’énormément de moyens et peuvent facilement parier sur le jeune Aiglon, ou en Espagne où le FC Séville, très friand de joueurs de L1, cherche ce profil (rapide, dribbleur) pour animer ses côtés.